Tuesday, 31 March 2009
CHRONIQUE
Aveu d'incompétence
Il ne sert à rien de dissimuler qu'on s'est trompé! On connaît mon pessimisme outrancier, comme Nostradamus je prédisais sur un ton prophétique, l'avènement de la bëte, la poursuite de la récession, la complexité du problème et la rupture du système monétaire. L'Apocalypse, quoi !
Heureusement que je me suis lourdement trompé. J'ai eu des nouvelles aussi fiables que rassurantes, provenant des autorités sérieuses et incontestables, fondées sur des données factuelles et validées par les ordinateurs les plus puissants du Pentagone et la connaissance des coulisses du pouvoir américain, là ou tout se joue.
Je ne me suis pas mépris quand involontairement je me suis décrit comme un vieillard malade et projetant mes angoisses - compréhensibles vu mon état neuronal. Mais j'ai été coupable d'avoir plongé les lecteurs de ce blog, dans une vision négative, démobilisatrice au lieu de positiver, d'entraîner, d'insuffler l'enthousiasme. Car rien n'est joué, et comme disaient Fruttero e Lucentini, quelque soit le problème, l'homme trouvera toujours une solution.
A présent, toute honte bue je dois faire mon mea culpa, et reconnaître à la lumière des dernieres nouvelles provenant de sources officielles que je ne puis dévoiler pour cause de confidentialité mais que vous lirez demain à 14 heures GMT dans votre chaîne de télévision, et le soir dans toutes les pages de tous les journaux. Vous vous demandez comment j'ai obtenu ces révélations. C'est oublier qu'en dépit de mon âge, j'ai l'oreille de personnages puissants au niveau mondial qui ont à leur tour l'oreille des sachants de la planète.
Je crois vous entendre murmurer : basta! ne nous fais pas lanterner, au fait, au fait quelles sont ses fameuses révélations. Comme j'ai peur de leur donner une visibilité trop marquée, je vous engage à les découvrir dans le corps du billet.
LA BONNE NOUVELLE, APRÈS LA PLUIE LE BEAU TEMPS. Lire le corps du billet.
Continuer à lire "Le journal du 1er avril 2009"
CHRONIQUE
Convalescence?
Nul ne peut sortir indemne des multiples chocs que j'ai subi depuis quelques jours. La question se pose pour moi : que vais-je devenir? Entrè-je dans une période de convalescence où je pourrai en paix panser mes blessures ou d'autres épreuves m'attendent-elles? Si cela ne dépendait que de moi, je crois que j'ai suffisamment d'énergie pour rebondir, mais je ne puis contrôler les évènements en ces temps de folie, ni mon propre corps qui suit son destin.
Je n'ai pas le choix. Dans tous les cas j'ai mon cher S*** qui prendra la relève de ce blog, et ce billet est dédié à ses paraboles.
Je viens de consulter les statistiques. Qual encouragement ! Celles des trois derniers mois indiquent une forte progression : 16.758, 17 495, 23 416 visites. Encore qu'il faille considérer ces chiffres avec suspicion, comme à toutes les statistiques. Le temps d'achever ce billet, le nombre de visiteurs a atteint 28.000 entrées tout rond ! Et puis, ce qui compte pour moi, c'est ces billets sont un lien entre S*** et moi, et nos amis, nos relations, nos sympathisants anonymes comme Herbe et Poil à Gratter, connivence qui se fait par le haut.
Pour le décodage des paraboles se reporter au corps du billet.
Continuer à lire "Le journal du 31 mars 2009"
CHRONIQUE
Deuxième fondation. Mors ultima ratio
Socrate, cher à mon coeur, qui sponsorisait la deuxième fondation, l'a tuée dans l'oeuf. Il fut certainement influencé par l'unanimité des muséologues qu'il a consulté et qui pour des raisons que je ne commenterai pas ici ont condamné sans appel un projet qu'il ne comprenait pas. Comment ne pas donner raison aux experts?
Mais il avait aussi des arguments bien plus forts. Il estimait en effet que cette Deuxième Fondation avait besoin de décennies pour être viable et qu'elle ne pouvait être menenée à bien que par moi. Or mon espérance de vie maximum est de trois ans, sauf miracles de la médecine. Il avait incontestablement raison. Ne faut-il pas être fou pour me suivre dans le chemin du futur? Par ailleurs seul un sponsor compréhensif et passionné peut patronner un projet culturel qui ne peut être considéré qu'avec répugnance par un pur homme d'affaires. Or Socrate n'est ni Getty, ni même Costakis qui avec des moyens tres limités construisiit un ensemble, le premier du monde de peintures de l'avant-garde russe. Il ridiculisait du même coup tous les muséologues consultés par Socrate, et responsables de l'avortement douloureux de cette Deuxième Fondation.
Que faire? Comme ces fourmis dont on a dévasté la fourmilière et qui se mettent aussitôt au travail pour la reconstruire, je ne me résigne pas à abandonner un projet auquel je crois et qui est nécessaire à notre civilisation comme une petite chandelle allumée dans les ténêbres. Je vais donc me mettre en quête d'un sponsor susceptible de m'aider.
Par ailleurs l'important pour moi n'est pas la Fondation mais l'affection profonde que nous nous portons Socrate et moi et qui est indépendante des vicissitudes materielles Paradoxalement elle sort renforcée de sa décision de mise à mort de notre projet commun. Il me l'a en effet annoncée avec une extrême délicatesse et dans sa lettre qu'il m'adressa transparaissait une sorte de tendresse qui me toucha.
Je suis encore plus fou que je le pensais, mais c'est plus fort que moi. J'agis comme si j'avais vingt ans et toute la vie devant moi!
En dépit de ces bonnes résolutions, je me sens quand même perturbé, et mon corps avait par avance annoncé la décision de Socrate. Il accuse maintenant le choc.
Soyez heureux, vous qui êtes jeunes, courageux, travailleurs et en bonne santé. Dans le typhon qui s'annonce bien d'opportunités s'ouvriront à vous.
Il est 7h22, mais j'ai repris ce papier rédigé hier nuit à 2h28.
Bruno Lussato.
Sunday, 29 March 2009
CHRONIQUE
Première fondation
Il est difficile et pénible de bâtir dans un temps où les forteresses s'écroulent, les digues cèdent sous la poussée des flots aveugles, et les forêts flambent chassant les habitants terrorisés vers les plaines balayées par les vents hurlants. Non il ne s'agit pas d'une vision d'apocalypse mais du nouveau monde qui nous attend.
Ce billet ne concerne pas la situation internationale, je m'en suis déjà entretenu maintes fois avec vous, mais de la Première Fondation à UCCLE. Essayez d'imaginer ce que représente la mise sur pied d'une telle fondation en nageant à contre-courant. Nous devons toute notre reconnaissance à notre sponsor pour son soutien. Même si nous devons réduire la voilure l'important est de sauvegarder le futur. Marina a toutes les peines du monde pour aménager les lieux faute d'aide efficace pour l'aider en Belgique. Quant à moi on n'a pu me trouver un successeur. En revanche la collection Mingei destinée à devenir un des plus importants musées dans le monde voués aux arts populaires au Japon, progresse rapidement.Nous avons déjà acquis 75 pièces significatives et de la plus haute qualité, dont certaines particulièrement rares.
J'ai pensé qu'il vous serait favorable de jeter un coup d'oeil sur les lieux tels qu'ils sont aujourd'hui, non encore aménagés. C'est le but de ce billet et vous permettra de suivre l'avancement des travaux et des collections.
Voir la suite des photos dns le corps du billet
Continuer à lire "Le journal du 28 Mars 2009"
CHRONIQUE
Chaos et récession
Le magazine Challenges a présenté et commenté une douzaine d'ouvrages, tout orientés par la crise : quelle explication lui donner? Quels remèdes proposer? Une caractéristique commune à tous ces livres, est leur tendancet réductionniste et conventionnelle.On lit par exemple : "A problème global, solution globale". Cette affirmation dénote une tournure d'esprit superficielle et anti scientifique. Où donc a-t-on pris que la crise est globale? Et que le remède doit être global? Alors que nous connaissons le caractère anisotrope de ses manifestation. Elle affecte d'une manière souvent opposée les différents strates de la pauvreté ou de la richesse des acteurs, la nature des marchandises et des produits-refuge, les habitudes culturelles, et encore une multitude de paramètres. Les palliatifs sont de ce fait totalement dépendants de cette anisotropie, et on doit d'autant plus les prendre sur le tas qu'une dose de chaos envahit les décideurs et il faut improviser sur le tas, ici et maintenant. Cette observation microscopique de la réalité échappe à nos universitaires et nos financiers, dressés sur les banc de l'école à penser global.
J'ai parlé de palliatifs, parce qu'il ne s'agit que de mesures provisoires, négligeant les facteurs macroscopique, à l'échelon mondial. Malheureusement même ces phénomènes globaux ne peuvent qu'échapper aux spécialistes financiers et aux économistes, car leur mécanisme est contraire à ce que l'on apprend dans les bancs de l'école. On se trompe de ce fait de discipline, comme si on essayait de s'attaquer à une sclérose en plaque en faisant appel à un dermatologue. Ce que les spécialistes nomment causes, ne sont que les effets d'un processus plus profond. Deux disciplines peuvent rendre compte de la genèse, du développement et du dénouement possible de ce phénomène qui est beaucoup plus grave qu'une crise même plus fatale que celle de 1929. Ces deux discipline sont 1. La théorie des systèmes infiniment complexes, comprenant l'étude des catastrophes, et du déferlement, 2. La sémantique générale qui étudie la formation, l'apogée et le déclin du système monétaire. Ces deux disciplines sont totalement étrangères à nos analystes qui ignorent même leur existence. Tant qu'on n'aura pas compris la nature et la dynamique du déferlement, et la notion d'abstraction au point mort (signifiant renvoyant non pas à un signifié, mais à un autre signifiant) on contineuara à se battre contre des moulins à vent.
En résumant grossièrement mon propos, je dirai : 1. Que la prolifération excessive de la complexité prevenant de l'acroissement des population dépendantes de l'internet et de l'informatique conduit à dépasser un seuil fatal où nous serons dominés par des systèmes technologiques qui nous privent de notre libre arbitre. 2. Que lorsque le signifiant (valeur faciale de la monnaire) au lieu de renvoyer à un signifié (richesse réelle) n'est convertible que dans un autre signifiant (dollar contre euro, euro contre yen etc.) on pratiquera la pensée magique qui accorde une réalité au virtuel (comme les vaudous qui s'imaginent qu'en perçant une figurine de cire, leur adversaire sera terrassé par une crise cardiaque.
Cela ne m'empèchera pas de dormir, car tant qu'on a la santé et la volonté de recommencer à partir de rien, on ne doit paas baisser les bras. Dans les périodes de chaos, des opportuniés se présentent pour les optimistescourageux, ce que sont les américains. C'est ainsi que j'interprète la parabole de notre ami S***. Lorsque l'arbre dépérit rien ne sert de laver les feuilles une à une, il faut plutôt se pencher vers les racines et les soigner. C'est le leitmotiv du livre (et du film) being there de Jerzy Kosinski.
Sur ces paroles d'espoir je vous souhaite une nuit qui dit-on, porte conseil. Nous en avons tous besoin!
Bruno Lussato. 1h57
Saturday, 28 March 2009
CHRONIQUE
Les objets purs s'entourent d'hommes purs
Les objets purs s'entourent d'hommes purs
Les hommes purs s'entourent d'objets purs
Les objets impurs s'entourent d'hommes impurs
Les hommes impurs s'entourent d'objets impurs.
BOUDDHA
Cette citation correspond à une réalité. LH III veut acheter un appartement de prestige à Paris. Marina et moi courons toutes lesagences pour trouver la perle rare. Et voici qu'une des relations Mme X*** aussi mondaine qu'on peut l'être me parle d'un somptueux duplex au Trocadero avec une vue à 360°. Je m'y pointe avec Mme X***et LH III. C'est une véritable horreur. On pouvait s'en douter car son pédigrée est Alain Delon qui coula des jours fastes avec la pauvre Romy Schneider, puis le roi Fouad. Mme X*** nous fait l'article : admirez la vue qui donne sur la Seine, la nuit on voit passer les péniches, c'est enchanteur. Et la vue sur la tour eiffel imprenable etc... En fait ce duplex n'est pas du tout au Trocadéro mais à l'extrême bout de l'Avenue du Président Kennedy, donnant côté sud sur les gratte-ciels, coté nord sur tous les immeubles de la rue Raynouard. Mais la décoration toute en marbre, faux tableaux de maïtres, salle à manger pour trente personnes, est non seulement la plus kitsch et hideuse que j'aie jamais vu mais dépassant de surcrît ce qui est imaginable. LH III silencieux comme d'habitude se vit montrer les monstrueuses baignoires, les toilettes pour invités pouvant accueillir simultanément six personnes, et possibilités de mettre une piscine sur le toit ! Lorsque nous nous trouvames en tête à tête, il était furieux d'avoir ainsi gaspillé son temps et, lui qui la veille était enchanté d'avoir vu ma bibliothèque, radieux à l'idée de la posséder un jour, redevint sérieux et glacial comme d'habitude. J'appris plus tard que Mme X*** avait comme toute référence une employée de la BNP ! Cet objet impur rejeta l'homme pur qu'est LH III.
En revanche je vis hier le plus beau appartement que j'aie jamais vu. Il était tout entier en bois précieux, y compris le plancher. Les bibliothèques splendides qui ornaient les murs étaient chargées d'objets des Arts Premiers, en particulier d'Afrique, de même que chaque pièce de l'appartement. L'union de cette collection qui peut rivaliser avec le musée du quai Branly, et ce bois exotique, me remplit d'enchantement. Mais j'eus un scrupule: cette demeure était exigeante. Il manquait des chambres d'enfants et une chambre maîtresse séparée de la chambre à coucher principale. Mais il y avait autre chose. Que donneraient ces murs vides des tableaux de Hartung, de Lam, ou de Fautrier, qui les peuplaient an alternance avec des bibliothèques immenses mais désepérément privées de tout objet? Ce n'était guère possible, à moins de tout raser ce qui eût été un acte de vandalisme. Ce magnifique lieu était voué à la haute culture et pas n'importe laquelle. Le seul choix qui restait à L.H III était de constituer à son tour une collection muséale et pas n'importe laquelle. Par exemple la statuaire chrétienne médiévale ne cadrait pas avec le lieu. A force de dialoguer avec des gens cultivés, je trouvai deux crénaux : d'une part un collection de la céramique depuis les Gourgans persans du XI siècle qui inventèrent la glaçure, jusqu' aux magnifiques poteries des artisans de Vallauris et signées Picasso ou Braque. Le second choix était de collectionner l'art premier (primitif) de l'Amérique du nord, et en particulier de l'art esquimau. Il est encore possible de les avoir à un prix élevé mais accessible.
Voici donc un cas dans lequel l'objet pur ( en l'occurrence, la maison) impose sa volonté et manifeste son désir de s'entourer d'homme pur. LH III convenait particulièrement à cet objectif étrangement ambitieux. Je n'ai jamais connu de jeune désirant se cultiver tous azimuths, comme un prince de la Renaissance. Je lui donc parlé ce soir et il m'e comprit au vol. Je crois qu'il aurait trouvé bon qu'en tant qu'héritier d'une longue est prestigieuse dynastie, il prenne place parmi les grands fondateurs culturel de ce monde.
Par ailleurs, les lieux que vous habitez - en admettant que vous soyez libres de votre choix, impriment leur marque sur votre personnalité. Si les autres appartements étaientsimplement prestigieux, ils auraient filtré leurs visiteurs et donné à leur habitant une aura de "m'as-tu-vu' de mauvais aloi. Au contraire en appartement comme celui dont je viens de vous entretenir, ajoute au prestige qui s'y attache et qui est du niveau le plus élevé, une atmosphère de haute culture, séparant ainsi L H III de la masse des nouveaux riches. Et cela il l'a compris.Il est possible qu'en voyant cette de meure il ne l'aime pas, qu'il la trouve trop mal adptée à ses besoins. Mais l'important à mon sens c'est que je crois que dorénavant il fera passer les exigences culturelles au même degré d'importance que le prestige.
Denier exemple tiré de mes souvenirs. C'était voici au moins quinze ans et j'étais conseiller du Président d'une grande firme d'informatique. Il m'invita à visiter le lieu flambant neuf et ses bureaux conçus dans le même style. J'avais une réputation sulfureuse pour tous les jeunes informaticiens notamment à cause de ma détestation pour la HI-TECH et par mon prêche sur la haute culture.
Lorsque j'arrivai dans la mégapole technologique en béton, verre et plastique, je constatai que les murs étaient couverts de graffitis, le sol était jonché de débris innomables, et la lumière trop forte et morte en même temps.
Je fus accueilli dans l'amphi où je devais prononcer une conférence, par des vociférations obscènes, un orchestre Rapp, des cris d'animaux et des rires méprisants. Impossible de me faire entendre. Je leur dis alors, en hurlant pour couvrir ce vacarme " Vous illustrez parfaitement mon hypothèse : les lieux barbares suscitent autour d'eux la barbarie. Je vous excuse par ce que lorsqu'on voit où vous travaillez est fait pour des zombies, et vous êtes des zombies, vos actes sont en parfaite adéquation avec votre environnement". On était en présence d'une boucle de feed back positive : l'environnement déjeté suscitait une anticulture qui poussait les jeunes intoxiqués à saccager l'environnement. Il s'y cachait un désespoir, un mal de vivre non déclaré qui poussait à cette forme de suicide de l'humain en nous.
J'appris plus tard que les "jeunes" avaient été stupéfaits et désorientés par mes attaques et qu'ils désiraient tous me réécouter. Mais voici un exemple où un objet impur (la mégapole) s'entoure d'êtres impurs. Un exemple parallèle est connu et oublié de tous. On a besoin de policiers et de gardes musclés, pour limiter laviolence dans les matches de boxe, de football, ou les discothèques. A-t-on besoin d'un service d'ordre pour garder les salles de concert?
Il est 5h40. Je n'ai guère été raisonnable car j'ai attrapé hier un épouvantable rhume de cerveau, dont je suis venu à peu-près au bout, a force de paracétamol, d'occilococcinum et d'autre remèdes de bonne femme. On m'a recommandé de dormir tôt, le temps de m'en débarrasser. Mais voici que la tentation a été la plus forte. Par ailleurs je me suis aperçu de la disparition de magnifiques encres de Chine de Zao-Wou-Ki, de grands dessins de Wilfredo Lam, et autres oeuvres de plus grands maîtres, faites pour moi. Tout ce que j'ai trouvé est un dessin fait pendant la guerre et qui montre ma chambre à coucher.On remarquera sur une étagère des livres reliés : les oeuvres de Shakespeare traduites par Montaigu. Il y manquait un volume contenant le Roi Lear et Macbeth, que je ne connus que tardivement.
J'ai retrouvé également de documents datant de 1955, ce sont les seuls rescapés de la disparition de tout ce que j'ai produit avant 1962. Ce sont mes cahiers de cours, et mes fiches "antisèche". C'était l'époque où je connus LH I
Bonne Nuit et à demain.
|
Commentaires