Monday, 7 January 2008
Les potins d'Anastasia Romanov, comtesse de Ségur
Mariage annoncé sur le Net
«Mariage imminent» entre Nicolas Sarkozy et Carla Bruni
Samuel Potier (lefigaro.fr), avec AFP et le JDD
06/01/2008
Selon le Journal du dimanche, la date de l'union entre le chef de l'Etat et l'ex-top model serait fixée début février. L'Elysée ne fait «pas de commentaires».
Il lui a déjà passé la bague au doigt. «Un cœur en diamant rose signé Victoire de Castellane, créatrice de bijoux chez Dior, signe de fiançailles, gage de noces prochaines», assure le Journal du dimanche. L'hebdomadaire fait état d'un «mariage imminent», début février, entre l'ex-top model Carla Bruni et le président de la République Nicolas Sarkozy.
La date précise ? «Le 8, ou plus probablement, le 9 février prochain», croit savoir le JDD, citant «plusieurs sources». « Le couple, qui affiche son amour à la Une des magazines sur papier glacé et promène son bonheur naissant à longueur d'écrans télévisés n'en pouvait plus d'attendre », ajoute le journal. Fin décembre, le quotidien italien La Stampa, citant la mère de Carla Bruni, avait affirmé que le président français avait demandé la chanteuse italienne en mariage. Casse-tête pour le protocole Réaction de l'Elysée : «Pas de commentaire», a répondu le porte-parole de la présidence, David Martinon. Une réponse que ce dernier a systématiquement formulée en octobre aux journalistes qui l'interrogeaient sur des rumeurs concernant la séparation de Nicolas et Cécilia Sarkozy. L'annonce du divorce est finalement intervenue le 18 octobre par communiqué.
L'idylle de Carla Bruni, 39 ans, avec le président français, 52 ans, a été révélée vers la mi-décembre par des photos prises à la faveur d'une visite du couple au parc d'attractions EuroDisney, dans la banlieue de Paris. Depuis, le couple s'est affiché au grand jour lors de vacances fin décembre en Egypte, puis ce week-end, dans les ruines de la cité nabatéenne de Pétra, en Jordanie. Là, le président français s'est laissé photographier avec le fils de Carla, Aurélien, juché sur ses épaules.
Samedi, la presse indienne se faisait écho du casse-tête que représenterait, pour les autorités de ce pays, la présence de Carla Bruni lors de la visite officielle de Nicolas Sarozy en Inde le 24 janvier. Selon l'agence de presse PTI, le ministère indien des Affaires étrangères s'interroge sur la place à donner à Carla Bruni dans le protocole.
«Une authentique histoire d'amour» Un mariage réglerait la question du protocole pour les voyages suivants, mais troublerait une partie de l'entourage de Carla Bruni, selon le JDD : «Certains de ses amis s'inquiètent de la rapidité de cette romance et de la perspective de voir cette artiste, «Don Juan au féminin», enfermée dans le rôle de première dame de France.»
Mais Marisa Bruni, la mère de Carla, voit les choses différemment, comme elle l'avait raconté à la presse italienne. «Si Carla devient la première dame de France, elle devra garder pour elle un lieu et du temps pour écrire.» Avant d'affirmer dans Le Parisien : «Carla vit une authentique histoire d'amour. Et je pense qu'ils peuvent très bien se compléter avec Nicolas.»
Nature et culture
Mon fils m'a offert deux blocs de DVD de collection, relié rétrospectivement à la Nature et à la culture.
Le premier édité par la BBC Planet Earth, m'a été vanté comme un monument de technologie: les plus sophistiqués des appareils de prise de vue et des outillages vdeo; des journalistes capables de se cacher pendant une semaine pour surprendre la cour entre un macaque et et un flamand rose; des étendues sans fin ni mesure de blace, de mer, de feu... et des animaux si mignons se frottant contre leur maman ourse, des orrchidées rares, des coures éperdue de guépards... Les couleurs sont spectaculaires, très brillantes, très piquées...Voyagez, dit le générique entre les éléphants sous-marins, des montagnes de guano et un léopard blanc sur le point d'attaquer... Pure classe !
Mon fils m'explique pourquoi cette série supprime toutes les Arthur-Bertrand, ou les émissions habituelles de Arte ou de Océaniques. Je n'ai pas compris. MAis ce que je puis dire, c'est qu'après une heure des ces visions Idylliques et spectaculaires, vous tenant en haleine, je commence à somnoler, j'en assez après quelques jours d'hôpital dont le pure est la TV imposée (dont la Nature) de ces photos monotones par leur excès, par leur surenchère au spectaculaire qui abrutit tout raisonnement, toute fibre sensible un peu raffinée. Tout y est sauf la poésie, l'émotion, la surprise. C'est vu par des professionnels super compétents à la recherche de scoops, et donc le sentiment poétique tient à la capture d'images supervendables. Que l'on compare ces visions de la nature dans ces médiocres images hyperraffinées, avec celles d'un Bill Viola dans son film japonais, ou dans rêves de Kurosava, pure splendeur dont on peut sortir des dizaines de fois, toujours émerveillés.
Cette fausse nature est aussi dela fausse culture. Elle n'exige aucun effort pour être ingurgitée, elle n'en restitue encore moins d'exploitable pour notre cheminement intérieur.
Mon fils m'a également apporté un autre album " Les grands duels de l'entre deux tours des présidentielles. Je n'ai pas osé aller au delà du défi Giscart-Mitterrand. Une pièce de Molière ou de Shakespeare nous imposent toujours un travail de décodage et d'interprétation, les acteurs interposent un masque distancié, raffiné qui cachent leurs intérêts secrets. Ce spectacle, construit par l'homme, dépendant des codes littéraires et de la langue la plus admirable, relève de la culture.
Mais dans le premier des débats, le niveau est si misérable que le décodage est immédiatement perceptible - sauf pour des électeurs abrutis (par qui, par quoi?)
J'ai devant mes yeux ceux du technocrate; glacés, condescendants, sévère et arrogant de l'énarque. Son face-à-face, voyez le minauder en battant des cils, yeux obliques, lèvres à demi-ricanantes, respirant la fausseté et la malhonnêteté sournoise. Il finit par l'emporter et on en connait le résultat. Et le niveau des arguments : vous êtes un homme du passé, vous n'avez par le monopole du coeur... Est-ce digne d'une agora démocratique? C'est cela qui va occuper le trône Elyséen?
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Sunday, 6 January 2008
Le projet de Faust inversé.
La subversion du bien
**** La séquence 220
Volume XV du codex éléphant, p.1639. 353 jours avant l'an 2000 D'une certaine manière, le projet original contient sa propre inversion. C'est en enfreignant le covenant qui le condamne, qu'il gagne le Paradis au grand dépit de Mephisto. Certes il accomplit le mal, certes il a cédé au pêché d'orgueil, mais
son but a fini par s'affiner et son bonheur il l'a trouvé dans le bonheur du genre humain, auquel il a tout sacrifié. Comme dans La Tempête, le notion de conversion, de pardon, de dépassement des rancoeurs, et des jugements à l'emporte-pièce est centrale.
J'ai eu l'idée d'inverser le schéma. Que se passerait-il si au lieu de laisser le diable manipuler un sage pour le pire, Dieu lui rendait la pareille et manipulant l'homme le plus cruel pour éveiller en lui le sens du bien et du mal? Cette dernière année je poursuivis cette obsession; montrer qu'en tout homme supérieur, même cruel et violent, il se tapit caché quelque part une étincelle divine, qu'il ignore et que les poids des biens matériels ont étouffé : l'argent, l'argent, le pouvoir, le pouvoir, le sexe, l'égo et la vanité. Voici donc cette version de Faust à l'envers.
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Saturday, 5 January 2008
ECLATS DE FAUST
Commentaires récents
La séquence 220 de L'Entretien
Rencontre au sommet, fusion à la base.
.... INTRODUCTION : Prologue au ciel
Faust I, d'après la traduction de Jean Malaparte, Flammarion.
J'ai choisi des anciens billets propos de Faust en me contentant de les utiliser pour étudier trois aspects du génie dramaturgique de Goethe et pour illustrer la traduction catastrophique qui désinforme gravement le texte.
Le premier billet nous ramène au début de l'oeuvre. Non seulement elle pétille d'ironie, mais de surcroït elle pose le grand projet du monument.
Méphistophélès
Puisque une fois encore tu daignes t'approcher Seigneur,
et tu veux savoir comment va notre populace,
Moi sur qui ton regard aimait à se poser,
Me voici devant toi pour te rendre allégeance.
Pardonne-moi pourtant : j'ignore les grands mots;
Dût tout le paradis se moquer de mes propos,
Et tu rirais toi-même, en écoutant mon pathos,
Si tu savais encore de que c'est de rire.
Je ne parlerai pas de sphères, de soleil :
Je vois l'humanité, sa misère profonde,
Le petit dieu d'en bas est pareil à lui-même.
Sans doute il vivrait mieux sans ta sollicitude;
Qui lui donna l'apparence des clartés du ciel;
Il la nomme raison mais il s'en sert si mal
Qu'il se ravale au rang du dernier animal.
Il est, quitte à blesser les sensibilités délicates;
Comme une sauterelle avec ses longues pattes
Qui saute et vole et saute et reprend son refrain.
Si du moins il ne quittait pas l'herbe où vous le créâtes !
Toujours le nez fourré dans un nouveau crottin !
Le contraste entre la majesté du cadre : le paradis, et la familiarité du discours du diable, qui évite la langue bois habituelle, introduit un oxymoron dans ce prologue étrange : coexistence de grandiose et de terre à terre. Il n'est pas un vers qui ne cache quelque intention ironique. Méphistophélès établit un contraste brutal entre la langue mythique des discours officiels et la langue vernaculaire de la réalité du monde.
Lorsqu'il se moque de la sollicitude divine, il me fait penser à une banderole accrochée à l'entrée de Saint Pierre de Chaillot qui déclarait en substance :
"Mon Dieu, comment te remercier pour tous les bienfaits que tu répands dans le monde".
A quoi, mon diable à moi, Hilarion, ne manque pas de répondre : "que serait-ce si le monde était privé de tes dons : la peste, le génocide, les épidémies. Merci, tes bienfaits tu peux les garder".
On peut également citer L'Ascension et la chute de la ville de Mahoganny de Bertolt Brecht, où l'on voit Dieu menacer les impies des feux de l'enfer. Ces derniers lui répondent : l'enfer, on l'a déjà.
Relevons aussi l'hyperrationnalisme qui transforme les intellectuels pontifiants, énarques, maîtres à penser, philosophes engagés et autres bobos (et vous savez à qui je fais allusion en particulier) en bêtes stupides prêtes à soutenir les causes
les plus répugnantes. Mais laissons parler le Seigneur.
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Chronique
Doutes pédagogiques
Hier j'ai reparcouru la Flute Enchantée et La Tempête pour vérifier certaines notations. Comme je l'ai signalé, ces billets ne sont pas adressés au profane, car il est indispensable que l'internaute se familiarise avec le texte originel et les commentaires qui l'accompagnent. Mes notes sont intensément personnelles et établissent un lien subjectif entre l'oeuvre et ses prolongements les plus lointains, les plus secrets dans tout mon être. Elles sont loin cependant d'être purement arbitraires, car elles projettent sur le texte une lumière caractéristique qui risquerait de disparaître sous la description toute crue des musicologues. Cette approche vous permettra -une fois que vous aurez pris connaissance de l'oeuvre- de découvrir ces correspondances secrètes, ce que les peintrees chinois appelaient des veines de dragon.
Cette approche lacunaire, fragmentée se justifie encore plus s'agissant de Faust, énorme monument qui exige des tombereaux de commentaires pour en approcher la surface. Je me contenterai dès lors d'entrouvrir une ou deux portes au hasard, de passer mon nez et de humer l'ambiance qui s'en dégage. On trouvera très peu de sentiment, peu d'émotion - sauf dans la dédicace très personnelle - et beaucoup de subtilité, d'ironie et construction logique d'une cohérence confondantes. Le contraire du tumulte psychique shakespearien.
Aujourd'hui, j'ai reçu Frédéric Bonnet, qui à force de compétence, d'objectivité et d'honnêteté, est en train de se faire une sérieuse réputation, en marge des canaux commerciaux et mondains qui infiltrent le milieu de l'Art. Son dernier billet ne manquera pas de décourager ceux qui cherchent un voie royale dans le maquis de l'Art contemporain. Il risque de décourager et de décevoir les chercheurs de recettes. Le vide qui s'en dégage m'incite à reprendre pour ce blog une application de mon travail sur la Théorie de l'Information Psychologique, appliquéee au jugement artistique. Cela exige un souffle et un travail soutenus, qui ne sont accessibles qu'en masterclasses.
Le problème majeur est le suivant : l'Art vit de l'argent, celui-ci est détenu par des financiers, les galeries et les réseaux d'artistes pénètrent les réseaux et déforment le goût des collectionneurs en fonction de leur intérêt. Comment voulez-vous former un jeune financier suroccupé aux critères du goût; et près solidement en main par un establishment omniprésent et omnipotent? Surtout quand le maître est peu connu et famélique?
S'agissant de Faust, je me contenterai d'aligner quelques séquences extraites notamment de S220 de l'Entretien. Je les ai tout simplement trouvées dans le Blog.
Friday, 4 January 2008
Chronique
Survols
(La Tempête, Shakespeare)
Le Deuxième Faust. (Goethe)
Je ne sais exactement ce que j'ai commandé par le Net, sous le titre de Prospero's Books : un DVD si j'ai de la chance, ou un simple bouquin ?...
L'oeuvre de Greenaway l'auteur de Meurtre dans un jardin anglais (on déteste où on adore) ose s'attaquer de la manière la plus perturbante qui soit à l'oeuvre ultime du plus grand dramaturge de tous les temps. Avant de l'aborder, esquissons le scénario original en en faisant ressortir les similitudes avec la flûte de Mozart.
1. Place dans la chronologie : tout à la fin de la production, ce caractère tardif se ressent nettement.Le lieu est imaginaire et féériste, sans qu'il soit impossible de l'identifier. Désert de sable dans un cas, île rocheuse et aride dans l'autre.
2. Personnages orientés Yin-Yang. La polarité bien-mal et le triomphe du bien sont similaires. Prospero comme Sarastro prêchent les lumières, le pardon, la tolérance. Les héros amoureux sont Yin (Pamina, Miranda) ou Yang ( Ferdinand). Sous l'influence du maître Prospero (ou Sarastro) ils aspireront après des épreuves pseudo maçonniques à l'unité et à l'harmonie.
3. Identité cosmogonique. Dans les deux cas un objet magique attribue le pouvoir : une flûte provenant de Sarastro, le cercle zodiacal hérité de Zoroastre. Ces deux talismans sont confiés en dépôt à un sage dans le premier cas, le père et mentor de l'héroïne, dans le second à une pupille fille de Zoroastre.
4. Les traitres. Car il n'en manque pas dans la Tempête. Cela va de la brute scélérate livrée à ses instincts les plus barbares (Caliban, personnage politiquement incorrect) au propre frère de Prospero, roi de Milan : Antonio qui le condamne à mort, lui et sa fille. Sans compter toute la racaille (Trinculo l'ivrogne et les courtisans félons) et Sebastien qu'il pousse à assassiner son frère, roi de Naples.Sous ce point de vue; Shakespeare en campant Caliban, se montre tout à fait indifférent au mythe du "bon sauvage" qui connait une nouvelle vogue comme segment du pôle sémantique Médusa
5. Bien que la fin de la mission de Prospero et des Sarastro soit orientée ver la réconciliation et le pardon (Papageno et Papagena) il y a des tâches impossibles. (Monostatos) Le pire dans l'abjection est Antonio qui demeure aussi cynique qu'auparavant et Trinculo le plebéien, brute ignoble. Caliban est au moins capable de ressentir la nature et la beauté des lieux enchantés. Néanmoins, contrairement à la Tempête où tous sont pardonnés, La Reine de la Nuit, Monostatos, les servantes de la Reine, sont confondus et précipités dans l'orchestre.Morart est plus sévère que Shakespeare.
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Thursday, 3 January 2008
La mort en filigrane
Révision du 10 janvier 2008
Autant les jugements dictés par une partition abstraite ou purement musicale sont relativement stables, autant ceux qui concernent les mises en scène et les interprétations résonant avec des connotations subjectives, sont sujettes à discussion. Il en est ainsi du jugement que j'ai émis le 3 janvier 2008. Je procède ici à des rectifications, les unes objectives, touchant l'oeuvre elle-même, les autres plus subjectives.
La version que j'ai choisie en référence, vient de paraître. Bien que sa distribution n'ait pas le prestige de celle de Ponnelle à Salzburg, de Levine, au MET, ou encore celle d'Ingmar Bergman, en suédois, elle présente une réalisation équilibrée, fusionnant à merveille les différents aspects de l'opéra, de l'operette populaire aux formes les plus sublimes et les plus impressionnantes de dramaturgie. C'est faux : la partie lumineuse, ludique féérique est déformée dans un sens cauchemardesque, il y a par exemple deux monstres, les charmants nounours et tigrons qui dansent au son de la flûte, sont des figures de cauchemar difficile à supporter, et d'un style qui a bien pris de rides car alors il était à la mode et passait pour contemporain.
Il est indispensable de la voir et de la revoir pour qui voudra comprendre ce billet. Il s'adresse à des connaisseurs très cultivés en dépit de ses souvenirs d'enfance. Les autres pourront se faire une mince idée de la subtilité presque machiavélique du compositeur; cachée sous une fausse simplicité. Auparavant je tenterai un bref survol des versions les plus célèbres et de la différence de leur esthétique. Ajoutons que les chanteurs étaient accomplis et célèbres en 1971 et que Horst Stein est un excellent kapellmeister traditionnel. Lieberman était au mieux de ses talents de producteur. Malheureusement la pâte un peu grossière des nuances est contraire à la texture diaphane, féérique et irréelle qui fait le mystère du son orchestral et vocal de la Flûte.
LEVINE. MET, New York.
Un pur enchantement qui grâce à l'imagination picturale de David Hockney évoque pour les amateurs d'art contemporain et pour les enfants, un monde magique et inquiétant de cryptes et de hiéroglyphes. Levine hilare comme une baleine, infuse la pêche aux musiciens. Je ne pense pas que dans quelques années les compositions picturales de Hockney se démodent. Il y a toute la différence entre un acteur majeur del'Art contemporain et un décorateur parisien à la mode.
Les défauts résident dans les qualités. L'Ouverture montre un pot-pourri pictural des symboles les plus mystérieux de l'Opéra et les thèmes pictureaux fusent comme la double fugue de la musique tantôt jubilatoire, tantôt franchement inquiétante.
Je passerai sur les licences politiquement correctes qui polluent l'équilibre Yin (noir, mal, féminin) Yang (blanc, bien, masculin)pour échapper à l'accusation de racisme, la blanche colombe Pamina, devient noire et le méchant noir Monostatos, devient un "homme de couleur différente".
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