Sunday, 27 May 2007
..... Le duo central de L'Entretien. Introduction
Avertissement aux internautes
Ce n'est pas sans réticences que je livre le coeur émotionnel de Apocalypsis cum Figuris au lecteur. Tout d'abord parce que les séquences qui le composent, détachées de leur contexte, perdent leur caractère perturbant. Puis parce qu'il est nécessaire de connaître la trame générale du scénario où elles s'insèrent.
Dans le but de pallier à ces lacunes, je présente en quelques paragraphes, une sorte de "résumé des chapitres précédents".
Le cadre général
Quatre organisations mystérieuses se partagent le pouvoir dans un monde en pleine décomposition.
ATOLL
La première, appelée ATOLL, car son territoire se trouve dans un archipel située entre la Nouvelle Zélande et l'Australie, est le refuge des esprits les plus nobles de la planète. Elle est divisée en "préfectures" correspondant aux différentes civilisations. Son noeud sémantique est "Force de la terre humaniste" et elle aspire à constituer un sanctuaire inviolable contre la barbarie du monde. Elle envoie des émissaires masqués dans les endroits les plus chauds de la planète, pour ramener des informations, mais aussi pour essayer de contrecarrer la barbarie. Son pouvoir réside dans l'exploitation des phénomènes parapsychologiques. Dans les entrailles de Atoll, des "veilleurs" médiums sous influence biologique, reçoivent des messages précognitifs, et influencent par voie télépathique leurs adversaires, pouvant éventuellement provoquer des troubles psychosomatiques. La connaissance du futur proche, est source d'un immense pouvoir financier et politique. Notamment toute tentative d'invasion et d'agression de ce petit archipel est immédiatement détectée à la source et ses auteurs sont destabilisés, voire neutralisés à distance. Par ailleurs, toute recherche concurrente, visant à découvrir les processus parapsychologiques contrôlés, est également détectée et détruite.
Nombreux sont ceux qui désirent s'emparer des maîtres d'Atoll, afin d'accéder aux laboratoires souterrains où oeuvrent les médiums. Mais on ne les connaît pas. Au mieux on soupçonne que certains sont liés de près ou de loin aux administrateurs de l'archipel. Il est essentiel de les démasquer et de les "débriefer" de gré ou de force. Les maîtres se réunissent dans une "salle octogonale" et dirigent des sections locales couvrant toute la planète. Ils obéissent à une entité inconnue qui les domine tous et qu'on nomme avec une crainte superstitieuse : Atoll, tout court.
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Les conséquences des conséquences
Loin de moi l'idée de disserter sur les thèmes à la mode. Rien ne m'irrite plus que des bobos qui donnent leur avis sur ce dont ils n'ont de connaissance que par la grande presse, et qui se font les relais de désinformations éventuelles, si ce n'est le idéologues, qui, eux, connaissent éventuellement leur sujet, mais en transmettent une image déformée et se fint le relais de désinformations systématiques.
Je n'ai aucune connaissance en matière d'écologie, et en particulier de développement durable, de commerce équitable et de préservation de la planète. Mais j'entends souvent les conversations entre ma soeur Marina Fedier,chargée d'organiser des séminaires culturels, et d'éminents spécialistes dans ces domaines, et je suis frappé entre leurs explications, unanimes, et les mots d'ordre d'écologistes largement médiatisés. Un exemple concerne les biocarburants.
Le point de vue de nombreux écologistes politiques, ou de politiciens écologistes, je ne sais, est simple. Le pétrole pollue. Les biocarburants ne polluent pas. Le pétrole viendra à manquer. Les biocarburants pourront les remplacer etc... Et de comparer l'energie végétale à celle produite par des éoliennes, des cellules solaires ou la biomasse.
Or les connaissances transmises par les spécialistes laissent entendre une toute autre chanson. Non seulement la production de biocarburants ne diminuera pas la pollution, mais elle entraînera une véritable catastrophe écologique.
Le raisonnement tenu par les spécialistes consultés est le suivant.
1. Il faudra produire d'immenses plantations de Maïs ou autres sources d'éthanol provenant du sucre des végétaux, et seule la monoculture permettra une production suffisante pour compenser une partie de la production de pétrole. Une partie, car si l'on devait satisfaire tous les besoins potentiels de la planète, la surface de celle-ci n'y suffirait pas.
2. Tout ceci signifie déforestation, emploi massif de pesticides, consommation monstrueuse de l'eau devenus une denrée rare, et, par dessus tout, consommation d'énergue pour la transformation de la céréale en carburant utilisable.
3. Certes les paysans vont s'enrichir. Leur avenir est assuré, car les besoins en carburant sont virtuellement illimités. Mais la terre qui servait à donner à manger aux hommes des produits naturels et sains, va réduire son rôle essentiel pour nourrir les automobiles. On marche sur la tête!
Incontestablement il y a là un problème. C'est un cas flagrant de dissonance cognitive d'autant plus forte, qu'elle concerne l'avenir de la planète. Sans vouloir résoudre le problème, je me contenterai de faire deux remarques
1. Au plan epistémologique, il est peu douteux qu'un éclaircissement est nécessaire. Je ne sache pas que les écologistes qui défendent les biocarburant soient conscients de ces effets secondaires et qu'ils aient fourni des réponses convaincantes aux spécialistes. Cela me rappelle la position de Claude Allegre, affirmant que le réchauffement climatique n'était qu'un accident statistique et non le résultat d'un effet de serre.
2. Je ne connais que trop la propension des hommes à privilégier les conséquences et à minimiser les conséquences des conséquences. Ma formation de systémiste, m'incite - sous bénéfice d'une information contraire - à croire que c'est ce qui se passe dans ce non-débat. Par ailleurs, les biocarburants induisent des transformations graves de notre écosystème, dont on ne peut prévoir les conséquences des conséquences. C'est une posture conforme à Matrix, qui va vers la monoculture et la production indifférenciée de masse. Les écologistes qui soutiennent cette piste, seraient bien étonnés d'apprendre que leur démarche est en parfaite harmonie avec ce qu'ils détestent le plus : les prédateurs de la globalisation.
J'aimerais bien que l'on me renseigne sur ce sujet, d'une part pour réduire ma dissonance cognitive personnelle, d'autre part pour savoir qui désinforme qui?
Nouvelles du blog Réponses à des commentaires
Comme vous l'avez pu constater, je me fais un devoir de répondre, parfois trop longuement aux commentaires qui me sont adressés. Je les prends très au sérieux et cela me fait avancer ainsi que, je l'espère, mes amis internautes.
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La désinformation dénoncée
Je suis tombé par hasard sur la deuxième chaîne sur un débat sur la responsabilité des médias. Le fait divers ne se prête pas à la diffusion sur chaîne de télévision, ou si nécessaire, on doit l'épurer des scories que sont la vision du sang (souvent fabriquée pour les besoins de la cause) et l'inégalité des interviewes qui donnent souvent la part belle aux agresseurs contre les victimes. On en donna pour preuve, le retentissement médiatique de l'automobiliste fou tué par une balle dans la nuque par un membre des forces de l'ordre, après avoir tué un malheureux vieillard. Ce geste était nécessaire, car l'automobiliste risquait de faire d'autres victimes. La désinformation consistait dans la dyssimétries des interviewes. On donna partout la parole à la soeur du délinquant, qui dénonça les brutalités policières et donna force détails sur la mort de son frère. Mais on ne jugea pas bon de faire parler les parents de la victime. Les médias télévisés favorisent souvent les bourreaux contre les victimes et quoi qu'il en soit, la déontologie est mise à mal par des témoignages déséquilibrés et pris sur le champ,, avant que l'on ait bénéficié d'une relation précise des faits, ce qui demande un certain temps.
Ce comportement anormal de la télévision à propos des faits divers semble dû à trois processus, décrits dans Virus, huit leçons sur la désinformation.
D'une part ont prend ce qui se présente et qui est spectaculaire, en l'occurrence le témoignage de la soeur du délinquant, au détriment des témoignages plus difficiles à obtenir ou ternes et banaux. D'autre part on crée l'événement en mettant l'accent sur l'inattendu. Enfin on se situe dans le politiquement correct Medusa, qui combat les victimes et protège les agresseurs. Cette attitude prolonge le slogan CRS SS provenant de Mai 68 mais toujours vivace.
Force de la terre majoritaire
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Saturday, 26 May 2007
..... Retour sur blog
Ce texte est précédé du signet vert, il n'intéresse donc pas forcément les fidèles du blog. En effet, ainsi que je l'ai noté maintes fois, j'essaie de me conformer à l'éthique de Wikipédia, et de me distancer au maximum de la pratique des blogs habituels. Je m'explique : dans la célèbre encyclopédie de l'Internet, on évite d'avoir recours à des ouvrages non publiés par des éditeurs réputés ou des revues scientifiques et littéraires sérieuses. Il s'agit d'éviter que Wikipédia devienne le refuge des innombrables écrivaillons qui faute de moyens de se faire publier, même à compte d'auteur, trouvent dans l'encyclopédie un moyen commode et peu onéreux de faire connaître leurs ouvrages. Par ailleurs, contrairement à la plupart de blogs, Wikipédia évite les autobiographies complaisantes et de servir l'égo des participants. Enfin, les textes sont originaux et non des transferts de textes déjà publiés.
En ce qui concerne ce blog je crois avoir à peu près respecté ces règles. Certes je m'exprime à la première personne et je donne mes opinions que je soumets à critique, mais seulement comme des philosophes ou des psychologues utilisent le "je" pour éviter le "nous" de majesté et le "on" trop impersonnel, pour enseigner. La seule liberté que je me permette, est dans la rubrique biographique la présence d'une photo prise au cours du mariage de mon fils, au mois d'Août, faute d'une photo officielle récente, et dans la bibliographie, la couverture de mes publications. J'ajoute, que je n'ai jamais écrit de livre à compte d'auteur, ni même chercher à me faire éditer. Mes livres répondent à des commandes des éditeurs qui s'intéressent à mes idées d'une manière tout à fait désinteressée et qui pensent qu'elles méritent d'être publiées. Je ne suis pourtant pas un auteur de best sellers, et je suis connu pour ne pas beaucoup m'investir dans les médias, les conférences, ni pour promouvoir mes ouvrages.
La raison de ce long préambule, est que les articles précédés du carré vert .... paraissent déroger à cette règle dans la mesure où ce sont des extraits ou des commentaires d'une création de longue portée (plus de trente cinq ans d'élaboration, plus de quatre mille pages grand format), qui plus est continue à évoluer. Ce qui m'a incité à en publier sur le blog est que ce dernier n'est qu'un prolongement "in progress" de L'Entretien (c'est le nom abrégé de ce travail, dont le titre complet est Apocalypsis cum Figuris) et qu'il ne sera jamais diffusé que sur la toile, à l'exclusion d'un autre médium. Par ailleurs le manuscrit à peintures qui en constitue le scénario, est destiné, dès son achèvement, au département des manuscrits importants de notre patrimoine, Rue de Richelieu, où il aura l'honneur de voisiner avec les Heures d'Anne de Bretagne de Bourdichon, ou les manuscrits de Victor Hugo et de Proust. Nul ne pourra y avoir accès sans être accrédité. Enfin les extraits publiés dans le blog, sous cette rubriques ont été bien fréquentés, ce qui dénote un intérêt de la part des internautes.
Hier soir un jeune de trente deux ans, passionné par les choses de l'art et de la culture bien que biologiste de formation, Olivier A*** est venu me rendre visite. Il était interessé par l'enregistrement sur le blog, des pièces essentielles du Musée du Stylo et de fil en aiguille, je lui ai parlé de l'Entretien. Il s'est trouvé, qu'il a compris au vol, presque par empathie le sens de cette oeuvre, et nous en avons discuté jusqu'à deux heures du matin, au détriment du journal du blog, que j'ai rédigé, croulant de sommeil, de deux heures et demi jusqu'à quatre heures du matin. Son enthousiasme m'a encouragé et j'ai pensé qu'il serait utile à ceux qui n'ont point dédaigné de parcourir la rubrique "entretien" et "le dossier de l'entretien" de connaître la genèse de cette création, et ses relations avec l'esprit comme de la lettre du blog. On pourra se reporter avec fruit au synopsis que j'en ai dressé.
Continuer à lire "Genèse de L'Entretien"
Apocalypsis cum Figuris
Apocalypse à images ...
Tel est le titre d'une suite de gravures sur bois, chef d'oeuvre effrayant de Dürer; illustrant un texte d'un égal effroi.
Ci dessous, titre du tapuscrit original de L'Entretien
L'apocalyse aurait été écrite par un nommé Jean de Patmos (à ne pas confondre avec Saint Jean, l'évangéliste) peu de temps après la mort de Jésus Christ. Il prédit toutes sortes de malheurs et de persécutions qui attendaient les premiers chrétiens avant que le Règne de Dieu puisse enfin s'installer sur une terre ravagée par tous les maux.
S'il est une oeuvre qui appelle le décodage, c'est bien celle-ci, notamment à cause de sa forte charge symbolique. Prosaïquement on peut estimer que cette prophétie était destinée à consolider la foi des Chrétiens, et leur faire prendre patience en attendant des jours meilleurs. Le texte apocalyptique rappelle à certains égards le noeud sémantique Djihad par sa condamnation de la bête immonde, la Jezabel, la prostituée universelle qui pervertit les esprits faibles. Mais il en diffère par le pacifisme des soixante dix vieillards et par son style hallucinatoire et imagé qui réussit à nous donner l'impression d'assister au jugement dernier.
Les historiens de l'école de Fomenko ont remarqué l'abondance de signes astrologiques et on essayé de retrouver à l'aide d'un simple logiciel, la preuve et les dates de événements décrits de façon spectaculaire.
Or en essayant de retrouver la date précise correspondant à l'horoscope décrit par la position des étoiles, les eclipses et les autres phénomènes cosmogoniques, on s'est aperçu que la configuration des étoiles présentes lors de la vision du coel de Patmos, correspond à la fin du XVe siècle. C'était la date de la découverte de l'Amérique et de profonds changements dans la situation de l'Eglise. L'Apocalypse de Jean, serait de ce fait, si l'on conteste la chronologie de Scaliger, dépourvue de toutes bases historique, bien plus proche de nous, et surtout concommitante avec de profonds changements dans l'histoire et dans la conception du monde.
Mais à mon sens la force de la vision apocalyptique provient de ses métaphores aisées à mettre en images, et la floraisons est riche. On trouve le texte illustré dans des parchemins illustres. Citons Le Beato de Liebana (Ed. FMR, Franco Maria Ricci) les tapisseries grandioses et superbement présentées à Angers.
Cependant c'est en musique que le texte a démontré son efficacité onirique. Pierre Henry a créé un oratorio aux effets quelquefois trop spectaculaires, et tombé depuis dans l'oubli.
Curieusement en notre siècle de remise en question de toutes les valeurs, on assiste à 'un combat implacable entre forces du bien et celles considérées comme le mal. Ce manichéisme est typique des textes sacrés occidentaux, et les passages jadis condamnés pour hérésie, sont aujourd'hui admirés comme des jalons dans l'histoire de la science et des techniques. On ne connait à partir de ce texte hallucinant que deux oratorios, celui de Pierre Henry, un peu court, et un autre, signé Adrian Leverkuhn, de loin supérieur.
Le docteur Faustus est sans doute la tentative la plus réussie. Le grand Oratorio est décrit par le Professeur Sérénus Zeitblom, pendant qu'il ,impuissant, à la fin de l'Allemagne nazie. Dès que l'on a lu le programme de l'oeuvre, on a la tentation irresistible de se précipiter chez les disquaires pour acquérir l'exécution dirigée par Eugène Ormandy.
La bonne raison qui nous empêche d'assouvir notre curiosité, est que l'exécution n'a jamais eu lieu. Car Sérénus Zeitblom et d'Adrian Leverkuhn sont les fruits de l'imagination fertile de Thomas Mann, fécondée par l'immense érudition de Theodor Adorno ..
Je suis frappé par la modernité du chef d'oeuvre de Leverkuhn, et par son exploitation de la prophétie. En effet dans l'Apocalypse, on cite des sauterelles d'acier, vrombissant comme des centaines de chevaux, où encore une pollution généralisée. On y décrit aussi des écrans présents dans tous les foyers et diffusant l'image du faux prophète et celles des scènes sensuelles et sexuelles. La licence, la paillardise, le blasphème, tout ce qui est condamné par le Vatican aussi bien que par l'Islam, est aujourd'hui politiquement correct. Le monde est désormais divisé en deux blocs : le monde laïque et le monde religieux, chacun allant à la dérive, comme des continents flottant sur du magma et s'éloignant les uns des autres.
Lorsque l'on contemple le monde depuis la vision apocalyptique, tout bascule. Les thèmes modernes relatifs à l'avortement, l'écologie, le développement durable, l'égalité et le partage, la rapacité des multinationales et des spéculateurs, le mariage homosexuel et l'adoption, le retour à la barbarie d'un continent déchu, sont tous abordés dans la "révélation", et on nous renvoie à une gigantesque lutte entre le bien et le mal. La relativisation des valeurs les plus sacrées, honteusement détournées de leur majesté a entraîné le réveil de jeunes aspirant à la venue d'un âge nouveau.
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Thursday, 24 May 2007
Fausses fenêtres
Un des indices qui permet déceler la présence d'une désinformation, est la dissymétrie des traitements. Selon qu'on est puissant ou misérable... Les inégalités entre des citoyens qui en principe sont égaux devant la loi, sont un exemple de dissymétrie, mais par de désinformation, dans la mesure où les postulats inégalitaires qui en sont la cause, sont affichés. Par exemple les machos ne cachent pas leur postulat de l'inégalité des sexes. Les racistes invoquent le droit du sang, Hollande clame sa haine des riches, qu'il faut traiter autrement que les citoyens "normaux", J.P.Sartre affirme que les anticommunistes sont des chiens. S'agissant des massacres d'enfants et de l'esclavage, il est de bon ton de hurler son indignation à propos de l'esclavage d'il y a deux siècles, mais on se tait lorsqu'il s'agit de l'esclavage actuel, et des massacres racistes perpétrés au Darfour. Il y a les bonnes victimes et les victimes sans intérêt.
Si les inégalités des traitements (deux poids, deux mesures) sont un indice de désinformation, il en est de même dans l'égalitarisme forcé, dépourvu de toute autre justification autre que la force ou la contrainte légale. Cette égalité entre adversaires est supposée combattre l'inégalité criante , mais on ne résoud pas des inégalités par d'autres inégalités.
Un exemple significatif peut être avancé : la composition du gouvernement. Le président de la République a établi à la satisfaction générale la parité entre hommes et femmes. IL y autant de ministres mâles que femelles.
Mais cet équilibre, satisfaisant pour la pensée abstraite, se heurte à une contradiction interne. En effet Nicolas Sarkozy, prétendit dans sa campagne électorale, choisir ses collaborateurs parmi les plus compétents, les plus efficaces.
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