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Saturday, 26 May 2007
Apocalypsis cum Figuris
Apocalypse à images ...
Tel est le titre d'une suite de gravures sur bois, chef d'oeuvre effrayant de Dürer; illustrant un texte d'un égal effroi.
Ci dessous, titre du tapuscrit original de L'Entretien
L'apocalyse aurait été écrite par un nommé Jean de Patmos (à ne pas confondre avec Saint Jean, l'évangéliste) peu de temps après la mort de Jésus Christ. Il prédit toutes sortes de malheurs et de persécutions qui attendaient les premiers chrétiens avant que le Règne de Dieu puisse enfin s'installer sur une terre ravagée par tous les maux.
S'il est une oeuvre qui appelle le décodage, c'est bien celle-ci, notamment à cause de sa forte charge symbolique. Prosaïquement on peut estimer que cette prophétie était destinée à consolider la foi des Chrétiens, et leur faire prendre patience en attendant des jours meilleurs. Le texte apocalyptique rappelle à certains égards le noeud sémantique Djihad par sa condamnation de la bête immonde, la Jezabel, la prostituée universelle qui pervertit les esprits faibles. Mais il en diffère par le pacifisme des soixante dix vieillards et par son style hallucinatoire et imagé qui réussit à nous donner l'impression d'assister au jugement dernier.
Les historiens de l'école de Fomenko ont remarqué l'abondance de signes astrologiques et on essayé de retrouver à l'aide d'un simple logiciel, la preuve et les dates de événements décrits de façon spectaculaire.
Or en essayant de retrouver la date précise correspondant à l'horoscope décrit par la position des étoiles, les eclipses et les autres phénomènes cosmogoniques, on s'est aperçu que la configuration des étoiles présentes lors de la vision du coel de Patmos, correspond à la fin du XVe siècle. C'était la date de la découverte de l'Amérique et de profonds changements dans la situation de l'Eglise. L'Apocalypse de Jean, serait de ce fait, si l'on conteste la chronologie de Scaliger, dépourvue de toutes bases historique, bien plus proche de nous, et surtout concommitante avec de profonds changements dans l'histoire et dans la conception du monde.
Mais à mon sens la force de la vision apocalyptique provient de ses métaphores aisées à mettre en images, et la floraisons est riche. On trouve le texte illustré dans des parchemins illustres. Citons Le Beato de Liebana (Ed. FMR, Franco Maria Ricci) les tapisseries grandioses et superbement présentées à Angers.
Cependant c'est en musique que le texte a démontré son efficacité onirique. Pierre Henry a créé un oratorio aux effets quelquefois trop spectaculaires, et tombé depuis dans l'oubli.
Curieusement en notre siècle de remise en question de toutes les valeurs, on assiste à 'un combat implacable entre forces du bien et celles considérées comme le mal. Ce manichéisme est typique des textes sacrés occidentaux, et les passages jadis condamnés pour hérésie, sont aujourd'hui admirés comme des jalons dans l'histoire de la science et des techniques. On ne connait à partir de ce texte hallucinant que deux oratorios, celui de Pierre Henry, un peu court, et un autre, signé Adrian Leverkuhn, de loin supérieur.
Le docteur Faustus est sans doute la tentative la plus réussie. Le grand Oratorio est décrit par le Professeur Sérénus Zeitblom, pendant qu'il ,impuissant, à la fin de l'Allemagne nazie. Dès que l'on a lu le programme de l'oeuvre, on a la tentation irresistible de se précipiter chez les disquaires pour acquérir l'exécution dirigée par Eugène Ormandy.
La bonne raison qui nous empêche d'assouvir notre curiosité, est que l'exécution n'a jamais eu lieu. Car Sérénus Zeitblom et d'Adrian Leverkuhn sont les fruits de l'imagination fertile de Thomas Mann, fécondée par l'immense érudition de Theodor Adorno ..
Je suis frappé par la modernité du chef d'oeuvre de Leverkuhn, et par son exploitation de la prophétie. En effet dans l'Apocalypse, on cite des sauterelles d'acier, vrombissant comme des centaines de chevaux, où encore une pollution généralisée. On y décrit aussi des écrans présents dans tous les foyers et diffusant l'image du faux prophète et celles des scènes sensuelles et sexuelles. La licence, la paillardise, le blasphème, tout ce qui est condamné par le Vatican aussi bien que par l'Islam, est aujourd'hui politiquement correct. Le monde est désormais divisé en deux blocs : le monde laïque et le monde religieux, chacun allant à la dérive, comme des continents flottant sur du magma et s'éloignant les uns des autres.
Lorsque l'on contemple le monde depuis la vision apocalyptique, tout bascule. Les thèmes modernes relatifs à l'avortement, l'écologie, le développement durable, l'égalité et le partage, la rapacité des multinationales et des spéculateurs, le mariage homosexuel et l'adoption, le retour à la barbarie d'un continent déchu, sont tous abordés dans la "révélation", et on nous renvoie à une gigantesque lutte entre le bien et le mal. La relativisation des valeurs les plus sacrées, honteusement détournées de leur majesté a entraîné le réveil de jeunes aspirant à la venue d'un âge nouveau.
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Monday, 21 May 2007
Une histoire de David le chameau
La globalisation à l'envers
(suite de la masterclass 6 ) Cliquez ci-contre
Voici la réponse
Le système traditionnel
Détaillons le processus de fabrication et de commercialisation en commençant par les fonctions classiques. Généralement l'ordre est le suivant : 1. étude de marchés, 2. Recherche et Developpement, 3. Design, 4. commande des matériels : machines outils, 6 Commandes et gestions des stocks de tissu et d'accessoires. 7. Définition des besoins et des quantités. Enquêtes marketing et merchandising, 8. Fabrication et stockage en entrepôt. 9. Logistique : manutentions et transport. 10 Gestion des stocks de produits finis. 11. Répartition des bénéfices aux actionnaires. (fonds de pension). 12. Centrale d'achats du distributeur. 13. Logistique et gestion des sotcks. 14. Merchandising, publicité, promotion est ventes. 15. Gestion du magasin. 16. Liquidation des invendus. 17 Distribution des dividentes aux actionnaires. (fonds de pension)
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Sunday, 20 May 2007
La feuille de route du président Sarkozy
Même ses détracteurs doivent le reconnaître : le nouveau président a fait preuve jusqu'ici de trois qualités majeures :
1. Il a annoncé nettement la couleur, déclaré des mesures anti-démagogiques comme la suppression des droits de succession ou anti-establishment, comme le niet opposé à l'entrée de la Turquie dans l'Union Européenne. Plus encore, il a eu le talent de bien s'entourer et pendant deux ans, de forger une véritable charte politique, conforme aux valeurs traditionnelles de "Force de la Terre" et fondée sur les mots tabou de Travail, Famille, Patrie et efficacité. La majorité des Français s'est reconnue dans ces valeurs prioritaires et la gauche elle-même a dû reconnaître la capacité politique de l'équipe présidentielle et prendre exemple sur lui pour aborder sa "refondation".
2. Il a jusqu'ici tenu parole et s'est montré le Président de tous les français. Son gouvernement fait la preuve de la parité hommes-femmes, et de l'ouverture vers le centre et la gauche. Ses adversaires, dont Libération, hurlent au hold-up, mais lorsqu'il s'agit de Ségolène Royal, ils parlent de largeur d'esprit et de tolérance.
3. Il a dit qu'il irait vite, et il va vite, comme il court vite et parle vite. Là encore, les esprits chagrins qualifient de gesticulation, cette rapidité d'action et de décision. Il y a tout à parier que dans le futur ils feront le possible pour freiner les initiatives de Nicolas Sarkozy, de lui mettre les bâtons dans les roues, pour déplorer ensuite retards et échecs.
Il faut ajouter à ces qualités, une conception particulière du rôle de Président, opposée à celle de sa rivale. Cette dernière écoute, enregistre les doléances de ce qu'elle appelle les Français, et les reflète dans des mesures protectionnistes et démagogiques. Il est inutile de nous appesantir sur son caractère "mère Teresa". Mais Ségolène porte un masque, et, comme le disait Carl Gustav Jung, plus il est séduisant, plus horrifiant est ce qui se cache derrière. On a vu que la madone, losqu'elle jugeait bon, pouvait se transformer en une véritable furie.
Revenons-en au postulat fondamental de Nicolas Sarkozy. Il est connu et brise le tabou du mythe parlementaire. Il a lu les grands hommes, ceux qui ont redressé leur pays en difficulté et il a constaté qu'ils endossaient tous les pouvoirs, ils suivaient leur conviction sans se laisser détourner par leur opposition et comptaient sur une équipe à leur dévotion. C'est d'ailleurs ce que le Général de Gaulle a compris lorqu'il a fait succéder la Ve République à la quatrième. Là encore, l'opposition criera- et a crié - à la dictature : Sarko-Facho. Mais si Mussolini, Hitler, ont trusté tous les pouvoirs, il en est de même de Lénine, Staline, Castro, Mao, pour ne citer que les idoles de la gauche de naguère, et de Churchill, de Tatcher, d'Adenauer et de De Gasperi du côté de la liberté. Et la France est dans un tel état de décomposition, qu'on risquait si elle se prolongeait, la guerre civile ou l'avènement d'un dictateur, un vrai.
Cela dit, il y a deux séries d'embûches qui l'attendent sur son parcours, l'une de nature geopolitique, qui concerne les frontières et les alliances de l'Europe, l'autre de nature beaucoup plus insidieuse et d'ordre culturel et idéologique. Je relate une discussion avec Alexandre Del Valle, géopoliticien grand connaisseur de la Turquie, de Chypre et de la Russie et notoirement politiquement incorrect. (Il me semblait inutile de discuter avec des politiquement corrects, tous les lisent par définition et ils envahissent les congrés, les séminaires et les ministères). J'ai replacé notre échange de vue dans la revue de très grande qualité dirigée par Patrick Wasjman et dont le numéro de printemps a accueilli Nicolas Sarkozy lui-même. (Politique internationale, N° 115).
Le piège géopolitique
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Monday, 14 May 2007
Réflexions sur Matrix
Je viens de déjeuner avec Munchinger, un honnête homme, vice-président d'une grande entreprise de luxe : Tudor. La holding gère un important portefeuille de marques. Je remarque qu'il semble triste, affaissé, résigné. C'est qu'il a vu grandir le groupe, créé par un entrepreneur de génie, puis à sa mort, repris par son fils un pur gestionnaire. Il me raconte comment une firme mondiale comme celle-ci ne peut avaler une PME innovante sans la détruire.
Je compare sa relation des faits avec celle de Nora inc. qui a en moins de deux ans enterré une petite entreprise artisanale connue pour ses produits hors classe, véritables oeuvres d'art destinées à une élite de connaisseurs. De plus elle faisait d'honnêtes bénéfices. La propriétaire, fille du fondateur, et son fils, créatif et entreprenant, crurent qu'en combinant leur imagination d'artisan traditionnel à la puissance financière et marketing du groupe Nora Inc, on deviendrait leader mondial. Ils durent déchanter. Au bout de trois ans, la présidente fut remerciée et son fils, humilié par les bureaucrates du groupe, poussé vers la sortie. Les produits concoctés par des technocrates incompétents et sans vision conseillés par de prestigieux parasites bien en cour, discréditèrent la marque , et les pertes atteignirent deux fois le montant du chiffre d'affaires!
La question se pose : pourquoi acheter une firme qu'on a l'intention de fossoyer?
La théorie de la contingence a répondu depuis bien longtemps. Elle prédit que les gigantesques organisations globalisantes sont viscéralement ne peuvent intégrer des PME de création originales ni de donner pouvoir et autonomie à ses artisans innovateurs, seuls capables de créer ce luxe authentique, auquel même - et surtout - la gauche caviar est sensible. C'est un luxe industrialisé, un luxe de masse qui lui succède sous le nom de "haut de gamme".
Hitchcock et le luxe
Le VP marketing d'une grande firme de cosmétique, est un homme fin, cultivé, ouvert, suprêmement élégant et raffiné. Je le conseille depuis vingt ans et j'apprécie sans me lasser sa distinction, son goût aristocratique, sa vision moderne de la création des nouveaux produits.
Comme je me plaignais de la déliquescence du cinéma français, il me rétorqua vivement "Ils n'ont que ce qu'ils méritent. Seul le cinéma américain est vraiment digne de remporter la palme, car c'est le seul à être authentiquement professionnel. Les européens ne sont que des amateurs".
- Pourtant, dis-je, nous avons produit des Fellini, des Clouzot,
des Bergman...Sont-ils des amateurs?
- Cela ne pèse rien dans le marché mondial. Ce sont des films d'artiste, dans lesquels un homme seul, le démiurge, prétend avoir la science infuse, et n'accepte aucune distorsion de sa pensée.
- Et où est le mal?
-C'est qu'on se prive du feed-back du public. L'efficience exige qu'il y ait une parfaite adéquation entre les goûts de la cible marketing : des millions de spectateurs définis scientifiquement par des logiciels sophistiqués, et ceux de l'équipe de production qui à partir du scénario pondu par l'auteur-source, va le remodeler completement puis le soumettre à des tests raffinés. Bien souvent le scénario final n'a d'ailleurs que peu de points communs avec la vision initiale de l'auteur, et c'est tant mieux. C'est ce qui explique le succès de ce produit de luxe industriel qu'est le film hollywoodien. A l'ère de la globalisation, nul Hitchcock ne peut se targuer de connaître le public à qui ses films sont destinés.
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Saturday, 5 May 2007
Commedia dell'arte
Continuant cette chronique, un peu en avance sur la journée de demain, je ne sais à quelle catégorie la rattacher. Certainement pas décodage des médias, tant le déguisement est transparent, ni à désinformation, car il n'y a pas du tout d'information à déformer tant les messages sont devenus transparents. En définitive, ce qui se passe est tellement extraordinaire que cela pourrait passer pour un canular, un hommage que la réalité politique fait à cette commedia dell'arte où les acteurs montés sur des planches rustiques improvisent un rôle convenu.
Voir dans "suite"au journal, un portfolio des noeuds sémantiques et leur définition par Nicolas Sarkozy
Avant d'aller plus loin, voyons comment notre Ségolène-Colombine va réagir face aux deux adversaires qui s'amusent à lui faire des grimaces : Nicolas-Guignol et les-sondages-Arlequin. Va-t-elle se ressaisir et reprendre son rôle de blanche colombe, ou au contraire mettre un nouveau masque, celui de la sorcière agressive et péremptoire? Voici quelques extraits choisis des propos de notre madone:
(J'ai la) responsabilité de lancer une alerte par rapport au risque de la candidature ... du candidat soutenu par Berlusconi, Aznar et Bush ... par rapport au risque de la candidature de (l'ancien ministre de l'Intérieur), par rapport aux violences et aux brutalités qui se déclencheront dans le pays... cette candidature est dangereuse, ... tout le monde le sait mais personne ne le dit, il y a une sorte de tabou. .. . Il "ne peut se rendre dans les quartiers populaires sans être encadré par des centaines de policiers"
Voici pour Guignol-Sarkozy. On n'a pas à décoder, mais à tirer des inférences de ces propos en les reformulant d'une manière axiomatique :
1. La candidate en vilipendant son adversaire ne fait pas oeuvre electorale. Elle ne se bat pas pour l'Elysée. Elle ne fait pas valoir ses idées. Elle exerce la responsabilité qui lui échoit (en faveur de quoi? de citoyenne, ou de Présidente potentielle?) pour, Cassandre politique, avertir la Nation du danger mortel qui la guette.
2. La pythie prophétise des violences, des brutalités, le feu dans les "quartiers populaires", zones de non-droit, qui terrorise dès à présent le candidat, au point qu'une poignée de gardes du corps ne suffit pas pour le protéger. Le danger dès à présent est tel qu'il lui faut des centaines de policiers. Demain, s'il est élu, le président de la France ne pourra plus pénétrer du tout dans les quartiers où se trouve le peuple.
Mieux encore, la population autre que celle de ces banlieues sera livrée aux violences et aux brutalités que nous avons connu lors des saccages de magasins et des voitures en flamme. Ce sera la guerre civile.
Il y a une autre interprétation de l'oracle : les violences et les brutalités, seront le fait de la police sarkozienne, qui matera par la force, les quartiers populaires qui se révolteront et menaceront le président, s'il a le front de s'aventurer dans leur domaine.
En ce qui concerne les sondages, on pourrait croire que la candidate les démentira, car elle, elle sait ce qu'est la France. Elle l'a écoutée pendant des semaines et cela vaut des chiffres manipulés par le Grand Capital.
(les sondages) sont complaisamment delayés par les médias amis du pouvoir. ...
Elle même est une maman mère de nombreux enfants et gardienne des traditions. Elle maternera les français comme une mère ses petits.
Je serai une présidente protectrice, je vais bien m'occuper de vous.
On peut déduire de tous ces propos que la guerre civile éclatera, et que face à l'insurrection la gauche et le peuple des quartiers populaires devront faire face aux "brutalités et aux violences de forces sarkoziennes". La liberté sera enterrée et il faudra entrer en clandestinité. Maman Marie-Ségolène est là pour nous éviter ce danger mortel et nous protéger. Une voix s'élève cependant pour protester contre ces prophéties apocalyptiques :
(Je ne suis pas) de ceux qui considèrent que Nocolas Sarzozy est une menace pour la République française et que demain il va falloir rentrer en résistance et se préparer à je ne sais quelle clandestinité" (La gauche doit) assumer la confrontation d'idées" (et montrer en quoi le projet de Nicolas Sarkozy est dangereux).
Qui est l'auteur de ces propos raisonnables qui dégonflent cette vision fantasmatique de Sarkozy? C'est Julien Dray, le porte parole de Ségolène Royal ! On se trouve en pleine schizoïdie.
Dans la même page du journal, on trouve sous la plume de l'éditorialiste : "Nicolas s'obstine à dire qu'il s'agit d'une opposition vindicative à sa personne" et que Ségolène ROyal est une femme libre qui sait que le destin de la France se construit dans les cités plus que dans les beaux quartiers, qu'il y a là des trésors d'invention et de tolérance et non un simple gibier à Kärcher.
Je voudrais bien savoir ce que Laurent Joffrin (car le journal que je cite est Libé) a trouvé comme invention dans les cités où sévit le rap qui traite la France de garce bonne à violer, et comme trésor de tolérance chez des gens qui obligent le président de la République élu par une majorité de Français, à s'entourer de centaines de policiers pour pénetrer sur leur "territoire"., Je voudrais savoir aussi en quoi de tels propos peuvent réduire le clivage en deux blocs. En vertu de quoi on peut opposer les cités en les beaux quartiers, et dire ensuite qu'on est contre la fracture sociale. Dans la colonne de droite de l'éditorial on trouve le titre suivant : "Dérapage mal contrôlé de la candidate. Royal a évoqué des risques de "violences" si Sarkozy est élu. "
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