Politiquement incorrect
Tuesday, 15 May 2007
...... La diabolisation de la Russie
Poutine félicite Sarkozy avec deux jours de retard ! Tous s'en félicitent ou s'en émeuvent. Les russes ne cachent pas leur inquiétude : le nouveau président leur semble animé de fortes préventions sinon de mauvaises intentions. Ils regrettent Chirac.
Il va sans dire que je n'ai pas d'idées arrêtées sur la question de savoir si la russophobie est ou n'est pas justifiée. La géopolitique et les relations internationales ne sont pas ma spécialité et je me garderai soigneusement de ne pas ajouter aux sottises qui fleurissent dans les milieux mondains.
En revanche sous l'angle de la désinformation, il me semble que l'on peut relever un déséquilibre dans l'exposé des faits, la construction des inférences, et en définitive les jugements portés sur Poutine. Je me bornerai ici à montrer trois jugements différents sur l'attitude du Président Nicolas Sarkozy.
1. L'angle moral
Il est incontestable que le régime russe apparaît comme un mélange de Diamant Vertueux (le communisme stalinien) et de Matrix (la société de consommation massive). Cela tient à la nature du peuple russe, essentiellement moutonnière, passive, obeissant docilement à des maîtres fouettarts. La centralisation des régimes, de Pierre Le Grand à Poutine, en passant par Lénine et Staline, est doublée, contrairement à la notre essentiellement bureaucratique et sournoise, d'une grande brutalité. Le presse et les médias sont sous contrôle du pouvoir central. Les oligarques qui remplacent la Douma, sont ces Boyards rapaces et traitres, décrits par Pouchkine dans Boris Godounov.
La détestation de la Russie est exaltée par la personnalité de Poutine, un ancien du KGB parfaitement incomestible pour ceux qui font les réputations. Et je sais pour en avoir fréquenté quelques uns des amis du pouvoir, qu'ils sont parfaitement infréquentables. Un jour je livrerai peut-être dans ce blog, trois cartographies contradictoires de l'état de la Russie. Pour l'instant contentons nous de constater que les milliardaires qui influencent Poutine, sont méprisants envers l'Europe, et ne connaissent que les relations de force. La mauvaise réputation de l'armée russe, ses brutalités supposées en Tchétchénie, le style "droitier" de Poutine, sont pour beaucoup dans la russophobie. Aux Etats-Unis on est plus pragmatique : on vitupère contre Poutine - mais en même temps on fait des affaires avec lui. En France, point d'affaires prospectées, mais des leçons de droitsdelhommisme.
En dépit de la tare morale et sociétale des puissants du régime russe, il est l'objet de désinformations continuelles. Auprès du nouveau président, citons parmi les russophobes pro-américains, Glucksman, Lellouche, Bernard Henri Levy, Kouchner, et bien d'autres.
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Friday, 11 May 2007
Chronique
In memoriam Alexander Zinoviev
Le plus lucide des opposants soviétiques, connu universellement pour Les Hauteurs béantes (Editions de l'âge d'homme) a regagné la Russie en signe de désaveu d'un Occident qui selon luit menace l'humanité. Zinoviev pense qu'à la fin de la guerre froide, ce n'est pas à l'émergence d'un monde libre qu'on a assisté, mais une superstructure venu des Etats Unis qui parasite les valeurs occidentales qu'elle prétend incarner. Cette superstructure fermée dirige les populations anesthésiées et rassurées par la ^propagande et la désinformation. Zinoviev rejette cependant les théories du complot dans son dernier essai La Grande rupture, sociologie d'un monde bouleversé. (Même éditeur1999).
Pour son dernier écrit, et surtout à cause de son évolution tout à fait incorrecte jusqu'à la fin de sa vie, Zinoviev a été discrédité. Il est vrai que ses positions sont souvent tranchées et déplaisantes, cependant elles portent la marque d'un esprit original et fort. Sa conception de ce qu'il nomme l'occidentisme a influencé Virus notamment pour la description de ce que je désigne par le terme Matrix . Je lui avais proposé d'écrire la préface de Virus, mais trop tard. A la suite de sa mort, de nombreuses commémorations ont eu lieu et je regrette de ne pas pu y assister. Une carte que sa fille Poline Zinoviev vient de m'adresser, me rappelle opportunément que le grand écrivain était aussi un peintre à l'expression puissante et apocalyptique. Poline, son mari Youri Fillipov, l'éditeur de mes vidéocassettes pédagogiques, et toute la famille, sont des artistes et des amoureux de culture. Poline notamment a fait des illustrations remarquables autour du Ring de Richard Wagner. Je saisis cette occasion pour lui rendre également hommage.
Où il est question à nouveau de la désinformation en parapsychologie.
Les péripéties de cette théâtrale campagne présidentielle, riche en désinformations nombreuses et variées, et dont mes commentaires ont suscité de nombreuses visites et des réactions passionnées sur ce blog, m'ont distrait de ce qui a suscité le plus grand intérêt et que j'ai appelé dans Virus, la plus grande désinformation de l'histoire des sciences : le fait parapsychologique. Il ne s'agit pas pour moi de prendre parti pour ou contre les partisans de la parapsychologie, mais de déplorer qu'il y ait des pour et des contre. Cela m'évoque plus le climat de la campagne électorale que nous sommes en train de vivre, que la sérénité froide qui devrait entourer un débat scientifique.
Mais ce qui pour moi pose vraiment problème, est l'étouffement délibéré et hargneux, la mauvaise foi évidente, qui entoure les quelques résultats à peu près probants en faveur de la parapsychologie. Comment est-il possible de ne pas engager des budgets et des ressources importantes, pour explorer un domaine beaucoup plus lourd de conséquences que la face cachée de la lune? Lourd de conséquences pour notre vision du monde, au niveau cosmogonique comme à l'échelle humaine.
Ce qui motive mon soudain intérêt pour la question parapsychologique, est la découverte dans le labyrinthe du blog, d'un commentaire très important du Dr. Mario Varvoglis, répondant d'une manière nette à ma question également nette. "Existe-t-il un et au moins un dispositif expérimental, qui prouve selon les standards les plus rigoureux en vigueur dans les sciences humaines, l'existence d'un ou de plusieurs faits que l'on ne peut que rattacher à la Parapsychologie, et excluant les singularités statistiques, les biais instrumentaux, ou, bien en tendu, la fraude consciente ou subconsciente? "
Dans la suite de mon article vous trouverez l'argumentation du Dr Varvoglis.
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Wednesday, 9 May 2007
.....Château-Bateau-Bobos
contre
Métro-boulot-dodo
Où il est encore question du Château-Fouquet's *****, du Yacht Bolloré, et des bobos illustres : BHL en tête.
D'accord, il a fait une gaffe, mais So What? en quoi cela changera-t-il le sort de la France? Les notations du journal du 9 mai 2007 restent valables mais il faut ajouter encore une autre explication à l'attitude incompréhensible du futur président. Je laisse la parole au Docteur Prakash Bronstein.
Le mauvais génie de Sarkozy est Cécilia. Cette femme, a toujours été attirée par la gloire, le people, le fric. Venue d'Espagne elle s'éprend de Jacques Martin, une célébrité nationale en ce temps là, puis de Nicolas Sarkozy dont elle prévoyait l'ascension au poste suprême.
Mais Cecilia est le type même de la bobo gauchiste, en jean vison, et avide de luxe tapageur et de notoriété... Et puis, un homme de petite taille, au caractère irascible... La vie n'est pas marrante tous les jours avec lui, et les corvées de l'Elysée ça n'a rien de jouissif.
Nicolas a un lourd passif à surmonter. Il a toujours admiré et envié les riches qu'il cotoie et dont il convoite l'amitié. Voici à présent l'occasion enfin de briller devant l'objet de son amour malheureux, d'autant plus précieux qu'il est refusé. De lui montrer que lui, le petit Sarkozy, est plus puissant, plus glamour qu'Attias. Mais Cecilia ne se contente pas du pouvoir, elle veut les signes extérieurs de richesse, un monastère pour se retirer, ou une petite villa en Ardèche, très peu pour elle!
Ajoutant la naïveté du collégien amoureux à l'obsession du retour d'âge, Nicolas est prêt à tout pour épater celle qui se refuse à lui. C'est tout! Espérons que l'éffet déplorable qui l'a amené à rentrer en hâte à Paris produira sur le futur président, un effet salutaire.
Il n'est guère possible d'écarter l'hypothèse de Prakash, mais on doit tenir compte également de son attitude au cours de la campagne électorale. Il n'a jamais caché son goût pour la richesse, le show biz et le luxe. Il estime que lorsqu'on a gagné son argent, on a le droit de le dépenser comme on veut (sauf à en faire cadeau à un ami, dit la loi). Il revendique ce droit pour lui, comme pour tous ceux qui bosseront ferme et qui mériteront cette opulence, promise aux gagnants du loto; Or contrairement aux augures, la majorité des français n'ont pas tenu rigueur à cet aveu politiquement incorrect, bien au contraire il a compris que tous pourraient, comme Sarkozy, reconstruire à partir de zéro, une vie qui jusqu'ici n'était réservées qu'aux stars.
Sarkozy pourra utiliser l'épisode maltais comme un test. Si en définitive il obtiendra une majorité à l'assemblée, cela sera sur un parler vrai, politiquement incorrect, défiant l'hypocrisie misérabiliste des bobos et des nantis parisiens. Quelque chose aura décidément changé dans notre pays, une tendance qui le rapprochera des autres pays occidentaux. La désinformation, la diabolisation auront marqué leurs limites. Si au contraire l'effet maltais se répercutera sur les sondages puis sur les élections, cela voudra dire que Medusa aura durablement défformé les esprits.
La presse et la télévision
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Thursday, 3 May 2007
L'avocat du diable
Ayant récupéré mon blog, et rédigé mon journal, j'ai eu la désagréable surprise de voir mes caractères danser, puis disparaître, le texte happé par le vide. D'où la nécessité d'enregistrer sans cesse, mais aussi la prudence quand on livre le mot de passe à des collègues qui par inadvertance peuvent injecter des virus dans ce blog qui est dédié à "Virus".
J'ai pris connaissance des nombreux commentaires relatifs à mes prises de position sur la campagne et je viens d'y répondre. L'un de ceux-ci m'intéresse particulièrement car il taxe mon journal comme partial (en faveur de Sarkozy, contre Royal). J'ai déjà répondu à mon contradicteur, mais j'estime que je dois tenir compte de son point de vue et l'intégrer dans mon schéma de pensée.
Les débats entre Bayrou et Royal, puis, entre Royal et Sarkozy sont de faux débats. Il faut être bien naïf pour prendre leurs propos pour argent comptant. Ce sont tout simplement des clips publicitaires adaptés à leur cible marketing. Toute la politique est affaire d'études de marché. Autrefois, il existait le cinéma d'auteur, de Hitchcock à Fellini ou Bergman. L'auteur avait une vision et il l'imposait au public. Aujourd'hui, le scénario est testé, adapté, trituré par les spécialistes marketing de Hollywood afin de s'adapter au public visé, le plus large possible, et rapporter en produits dérivés.
De même, si autrefois on comptait des chefs d'état dotés d'une vision (Churchill, De GAsperi, Adenauer, voire pour le meilleur comme pour le pire, De Gaulle et Mitterrand) aujourdh'ui on n'en est plus au chef d'état visionnaire, mais au marketteur pragmatique. Certes Ségolène comme Nicolas, ont un scénario (à dominante Medusa chez l'une, Force de la Terre régressive, chez l'autres) ce scénario est testé, raboté, aménagé, au contact de l'auditoire. Ségolène disait vrai : chaque fois qu'on lui demandait de préciser son "scénario", elle restait dans le vague. Il lui fallait écouter la foule, les "partenaires sociaux" afin d'adapter au mieux son produit à sa zone de chalandise. Et il va sans dire que Nicolas procède de même.
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Tuesday, 17 April 2007
Une interessante revue de la désinformation en période électorale.
Tiré de Chronic'art. Cyril de Graeve. chronicart.com
C'est avec le plus vif intérêt que j'ai lu les points de vue d'éminents collègues sur la désinformation afin de les comparer avec les idées que j'expose dans Virus. La Serendipity a joué puisque c'est le hasard qui a voulu que je prenne connaissance des interviews des auteurs, dont j'ignorais l'analyse sur la campagne présidentielle. J'ai donc été surpris de voir une étonnante convergence d'appreciations, sans que chacun des textes ne fasse double emploi avec les autres. Voici quelques reformulations des iinterviewes dans le langage de Virus.
Pierre-André Targueff s'en prend à la lacheté des assujettis à la pensée unique. Il souligne vigoureusement l'existence des mots-totems et des mots-tabous qui sont les véhicules de la désinformation. Il dénonce l'usage magique des mots, tel que le décrit Hayakawa, et qui tend à criminaliser les mots en eux-mêmes.
Pour l'auteur l'esprit totalitaire c'est se taire et faire taire ceux qui oseraient utiliser les mauvais mots. Les mots ne sont pas jugés par leur contenu, mais par leur provenance. Des mots comme "travail, famille, patrie, identité nationale, race" doivent être évités même s'ils correspondent à une réalité, parce que Le Pen ou Villiers les ont utilisés. Les voici donc diabolisés.
Une autre dérive consiste à nier ce qui n'est pas complètement définissable, même si cela existe, comme l'identité nationale.
L'auteur dénonce également la dérive anti-socratique (l'apesanteur hiérarchique). " On se garde d'ailleurs de valoriser, car valoriser c'est juger et donc "hiérarchiser" mot-scandale. Il faut aussi se garder de cnoisir, car il n'est pas de choix sans "exclusion"(nom du MAl absolu)
Bibliographie : Les contre-réactionnaires, le progressisme entre illusion et imposture, Denoël.
Bernard Stiegler.
La télécratie nous lobotomise. Il emploie des formules creuses comme : il nous faut des emplois pour lutter contre le chômage. Mais on tait que le travail apporte quelque chose au delà de l'emploi, ce qu'avait noté Marx lorsqu'il disait que le travail était le propre de l'homme. Pour la télécratie, le travail est purement de l'emploi, du travail animal.
Le langage de la télécratie ne crée que de la dissociation au contraire de la véritable discussion.
De même le mot "démocratie participative" (Segolène Royal) est un pléonasme.
Bibliographie. La télécratie contre la démocratie" Flammarion 2006.
Elisabeth Levy
Les médias, premier pouvoir, sans contre-pouvoir. Ce ne sont pas les médias qui sont à la botte des politiques, mais les politiques qui sont à la botte des médias. Les puissants ne sont pas ceux qu'on croit.
Les médias déterminent nos cadres de références (c'est à dire l'espace sémantique) .
Quand on prétend ne pas avoir d'opinion c'est qu'on a l'opinion dominante (le poisson ne voit pas l'eau dans laquelle il nage).
La cohabitation entre le gauchisme culturel (relativisme des valeurs, métissage, etc) et le discours "ultra-libéral" (partage d'octopus, la pieuvre médiatique en deux territoires réservés : MAtrix pour l'économie, Médusa pour le 'reste").. " Dans un même journal, la rubrique économie encense l'entreprise qui gagne et la rubrique sociale se lamente sur ceux qu'elle laisse sur le carreau".
Les mots qui n'ont pas de sens. Lire la suite de l'article.
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Wednesday, 4 April 2007
Esprits crédules, esprits forts et esprits désinformés
La désinformation à l'envers
La majorité des commentaires récents avaient trait à la zététique, ou étude des canulars et des légendes urbaines. Le déclencheur a été la parapsychologie et la divination domaines mal famés où le sectarisme prime de même que l'amour malheureux de l'hyper-rationalité.
Les observatoires zététiques se veulent des dénonciateurs des faux mythes propagés par les charlatans et les illuminés. Ces faussaires scientifiques doivent être démasqués sinon emprisonnés comme naguère, lorsqu'ils tirent de l'argent à des dupes. L'approche zététique est donc très proche de celle de l'ISD de Genève qui analyse les atteintes volontaires et souterraines à l'information.Mais il faut se méfier des sceptiques professionnels qui tirent avantage d'une position avantageuse. De même qu'une information cache une autre information, une dénonciation peut cacher une désinformation. L'histoire est pleine de cas, où les dénonciateurs sont dénoncés, et notamment le cas di Président Kennedy, où Posner dénonçant la thèse du complot du procureur Garrison, (non sans raison), est à son tour dénoncé par Griffith, comme désinformateur. A la suite de Posner et de Griffith, on met en doute des preuves falsifiables sans donner des preuves de leur inauthenticité. Ainsi les empreintes digitales du tueur Wallace et d'un individu se trouvant dans le lieu où Oswalt était embusqué, sont déclarés identiques car présentant 18 points de ressemblance, par les experts, mais différents par des opposants qui ne comptent que neuf points de ressemblance. Le meilleur de l'histoire est que les empreintes sont publiées et que tout praticien peut résoudre la question!
Il est nécessaire de distinguer trois types de manipulés. Les esprits crédules sont légion. Ils croient aveuglement ce que leur dit un gourou, bénéficiant d'une caisse de résonance de sectaires et d'escrocs. Généralement ils se recrutent dans les milieux incultes et ils manquent de l'esprit critique nécessaires pour déceler la fraude.
Les esprits forts tombent dans l'excès inverse et jettent le bébé avec l'eau du bain, exigeant des preuves sans prendre la peine de les vérifier, condamnant sans savoir. Ils sont sceptiques par principe, pour montrer "qu'on ne la leur fait pas," et exigent des preuves bien plus contraignantes que celles dont se contentent les scientifiques. Leur motivation est la mode, le sentiment que toit ce qui est excessif est insignifiant, ou encore, la peur d'être taxés de jobardise. Il faut y ajouter le malaise qu'induit en eux l'hypothèse que les phénomènes inexplicables et incompréhensibles, cachent une plaidoirie implicite en faveur de l'existence de Dieu et désavouent le matérialisme qu'on leur a enculqué. Ce sont des croyants à l'envers et frappés des mêmes tares.
La majorité des gens ignorent tout de la parapsychologie de laboratoire, à laquelle ils n'ont pas accès, et n'en retiennent que l'image grossière qu'en donne la presse. Les zététiques eux-mêmes sont complices, lorqu'ils démentent les propos des charlatans. Il s'agit de la forme la plus pure de désinformation car elle repose sur une description véridique des faits.ou infalsifiable. Par exemple M. Vivant sur son site, verse au dossier zététique, la dénonciation de fraudes enfantines en faisant semblant de les prendre au sérieux. (Voir la controverse
entre Solaris et Vivant dans les commentaires).
Je vous propose dans la suite de ce journal un exemple de scepticisme mal placé assez savoureux qui rappelle la réfutation statistique de l'astrologie, mais qui donne des clés de compréhension du fait paranormal. .
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