Patrons profiteurs
employés spoliés
Nous signalons que dans de billet, ce ne sont pas nos propos mais la réalité, qui est politiquement incorrecte. Nous nous en excusons pour elle, mais elle ne veut rien entendre pour changer de position.
Ci-dessous, les zavantages zaquis
Au commentaire de Monsieur Ferreira, qui se croit encore au temps de Zola, je répondrai par un exemple factuel dans sa sécheresse. La procédure étant en cours, il m'est impossible de dévoiler les noms et les faits, mais je ne me priverai pas de le faire dès que possible. Qu'il me suffise de signaler que ce cas, loin d'être unique, est au contraire la règle depuis deux ans. Il s'applique aux petits entrepreneurs, aux personnes vulnérables et âgées, et tombe dans une catégorie non sanctionnée par les juges lorsqu'elle comprend des "employeurs retraités" qui bien souvent ont des revenus plus faibles que leurs employés de maison.
LE CAS DUPONT.
L'homme ne s'appelle pas Dupont. On ne peut le nommer sans être taxé de racisme. Qui s'y hasarderait?
Le prétendu Y. Dupont est entré comme employé de maison chez Sidonie Cruchon. Quelques jours avant la fin de la période d'essai, il menace la vieille dame, en lui expliquant qu'il est un expert en droit du travail et qu'il est entouré d'avocats, pour faire pression sur elle pour qu'elle signe. Deux jours avant le délai fatidique, elle envoie une lettre de licenciement, qui est interceptée et déchirée par Dupont, qui l'a arrachée à un coursier, qui a porté plainte aussitôt au poste de police.
Mme Cruchon demande à son avocat de rédiger une nouvelle lettre, mais toutes ces péripéties on fait que ladite lettre est arrivée un jour en retard.
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