Patrons profiteurs
employés spoliés
Nous signalons que dans de billet, ce ne sont pas nos propos mais la réalité, qui est politiquement incorrecte. Nous nous en excusons pour elle, mais elle ne veut rien entendre pour changer de position.
Ci-dessous, les zavantages zaquis
Au commentaire de Monsieur Ferreira, qui se croit encore au temps de Zola, je répondrai par un exemple factuel dans sa sécheresse. La procédure étant en cours, il m'est impossible de dévoiler les noms et les faits, mais je ne me priverai pas de le faire dès que possible. Qu'il me suffise de signaler que ce cas, loin d'être unique, est au contraire la règle depuis deux ans. Il s'applique aux petits entrepreneurs, aux personnes vulnérables et âgées, et tombe dans une catégorie non sanctionnée par les juges lorsqu'elle comprend des "employeurs retraités" qui bien souvent ont des revenus plus faibles que leurs employés de maison.
LE CAS DUPONT.
L'homme ne s'appelle pas Dupont. On ne peut le nommer sans être taxé de racisme. Qui s'y hasarderait?
Le prétendu Y. Dupont est entré comme employé de maison chez Sidonie Cruchon. Quelques jours avant la fin de la période d'essai, il menace la vieille dame, en lui expliquant qu'il est un expert en droit du travail et qu'il est entouré d'avocats, pour faire pression sur elle pour qu'elle signe. Deux jours avant le délai fatidique, elle envoie une lettre de licenciement, qui est interceptée et déchirée par Dupont, qui l'a arrachée à un coursier, qui a porté plainte aussitôt au poste de police.
Mme Cruchon demande à son avocat de rédiger une nouvelle lettre, mais toutes ces péripéties on fait que ladite lettre est arrivée un jour en retard.
Y Dupont assigne devant les prud'hommes madame Cruchon après l'avoir harcelée pendant des mois pour qu'elle lui paye une somme importante, et lui annonçant qu'il a des amis parmi les prud'hommes et qu'il lui "pourrira la vie". La pauvre femme, qui est veuve et dépressive, n'a pas les moyens de payer de telles sommes, à un homme qui de surcroît habite un luxueux appartement dans Auteuil, "legué" par une autre vieille dame. Elle est assignée par les prud'hommes et voici ce qu'on lui réclame pour le jameux jour de dépassement légal :
Rappel (imaginaire) de salaires, L.Y.D. ayant été payé régulièrement au prix d'un médecin et déclaré : 5 679,32 €
Heures supplémentaires tout aussi imaginaires, mais la charge de la preuve est à l'employeur. Madame Cruchon doit donc prouver que pendant les deux mois Y D n' a pas effectué d'heures supplémentaires . : 2 400 €. Cela est évidemment impossible dans la mesure on ne peut prouver une inexistence. Ce truc est très prisé des employés-voyous.
ndemnité compensatrice de préavis : 2.800 €
Dommages et intérêts pour rupture abusive ( de un jour !) : 15399,38 €
etc...etc..
ll faut ajouter à cela les frais d'avocats, gratuits pour l'employé, lourdement payant pour la pauvre femme. Ajoutant que celle-ci par suite de son état de santé, et sa privation de famille a été làmaintes reprises la proie de ces malfrats, et à chaque fois elle a été spoliée. Commentaires des policiers de son arondissement : on n'a que des ennuis avec vous. Le problème, c'est vous.
Elle doit à présent vendre ses maigres assurances vie pour payer les avocats et Y D qui lui, vit grassement du chômage, en travaillant au noir. Toute tentative d'alerter les administrations et l'inspection du Travail contre ces abus, ce sont heurtés à une inertie, voire un refus persistant d'enquête. Mieux encore les preuves du travail illicite établies par huissier ont été rejetées comme n'ayant pas été commandées par l'administration. Et celui-ci n'est qu'un des nombreux malheurs qui se sont abattus sur cette femme sans défense, et qui touche des milliers de citoyennes et de citoyens, qui n'émeuvent vraisemblablement pas M. Ferreira. Vous, monsieur Ferreira le vertueux, le défenseur des brimés, pouvez-vous m'indiquer des forums qui puissent défendre des personnes en état de faiblesse, dénommés patrons contre les prétendus employés-victimes? A vous la parole.
Des employés logés comme des chiens Etes vous au courant M.Ferreira du sort de ces familles travailleuses et industrieuses, de celles qui vous font vivre, et qui ne trouvent pas à se loger parce qu'on leur préfère des immigrés africains à la nombreuse progéniture, réelle ou supposée, et qui vivent des allocation chômage? Comment voulez-vous dans ces conditions que les employeurs, qui paient déjà des charges sociales prohibitives, puissent inventer dans la région de Versailles ou de Bagnolet, des locaux qui n'existent pas? Et qu'est-ce qui oblige ces malheureuses victimes de vouloir travailler en Région Parisienne alors qu'il y a tant de travail à faire en Province ou dans certains métiers dont nul ne veut : électriciens, plombiers, employés de maison, etc... où ils gagneraient confortablement leur vie. Un exemple est l'Ain, où la proximité de la Suisse enrichit les plus défavorisés à une condition ... qu'ils travaillent et qu'ils travaillent bien. Mais nul ne semble se presser au portillon.