La droite et la culture. La gauche pavoise.
Nicolas Sarkozy et la culture des crêtes.
La thèse développée par Virus prévoit l'incompatibilité entre deux noeuds sémantiques : Force de la Terre régressive et Médusa qui en est l'exact négatif. Or la stratégie développée par Nicolas Sarkozy est une posture d'ouverture. Toutes les tendances qui comptent dans le pays, doivent être écoutées avec attention et traitées de même. Jusqu'ici le Président a suivi avec une constance remarquable cette ligne médiatique et le succès a récompensé ses efforts. Il a pactisé avec tous les acteurs susceptibles d'alimenter les médias et dotés d'une grande visibilité. En même temps il a essayé de tenir parole, à moitié sinon complètement (les compromis font parti de la politique) et a pris des positions courageuses, au moins verbales, contre les syndicats en rupture de ban et affichant leur parfaite indifférence pour la loi et la République.
J'ai écrit "toutes les tendances qui comptent". Reste à définir comment se fait le décompte et selon quelles règles comptables. La première qui s'impose est la couverture médiatique sécrétée par Octopus, la machine à fabriquer des consensus : poitiquement corrects, ou incorrects, peu importe pourvu qu'ils atteignent des électeurs. Or la culture des lignes de crête, celle qui du temps de Force de la Terre humaniste, servait de modèle aux enfants, aux écoliers, aux élites, a disparu, fossoyée sous le déferlement des mass média, ces armes de distraction massives venues des Etats Unis et subordonnées à Matrix.
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