Dommages collatéraux
J'ai été retardé une fois de plus dans la transcription de mon billet, tapé sur le Psion Netbook, aujourd'hui introuvable, sur mon SONY Vaio. Ce dernier date du temps de Mathusalem, c'est à dire de quatre ans, et son ventilateur émet un son asthmatique.
Mauvais, cela, dit un de mes amis informaticiens. Il est prêt de rendre l'âme. Emmanuel surenchérit : si vous ne changez pas aussitôt d'ordinateur, vous risquez de perdre toutes vos données. Etant donné votre consommation d'images, vous avez intérêt à vous doter du plus haut de gamme, bien qu'il pèse quatre kilos et qu'il coûte 3500 euros. Mais attention, le transfert exige le concours d'un informaticien expérimenté. L'informatique est chose sérieuse. La négliger est un cas pendable. Mon fils m'assure que le coût des ordinateurs a chuté de façon spectaculaire. Fariboles, laisse tomber Emmanuel, cela ne vaut que pour le bas de gamme, de misérables petits bidules pour faire mumuse avec le net et du traitement de texte. Pour un produit aussi élaboré que votre blog, et afin de gagner du temps, il faut des outils puissants, professionnels, et ceux-là ont maintenu leurs prix. Malheureusement, le transfert Psion-Windows par Psi Win n'est plus possible.
Vous me demanderez peut-être, pourquoi j'enregistre mon texte sur un minable agenda perfectionné en service depuis sept ans au lieu de travailler directement sur le Sony. La réponse est simple : le Psion est ergonomique, il pèse 800g et je le manipule confortablement calé sur mes oreillers, dans un lit moelleux. Pour illustrer l'ergonomie du Sony, et des autres, voici un texte warning adapté du mode d'emploi de Toshiba.
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