Chronique
Journée de travail avec Emmanuel Dyan
Je crois qu'il a fait des prouesses. La vieille bécane à bout de souffle que tous destinaient à la casse, a miraculeusement pris un coup de jeune. Outils : un aspirateur, l'élimination des programmes inutiles, et je ne sais quel tour de magie de la même eau. C'est toujours très lent, mais XP et utilisable.
Chiens et chats
Ce sont les relations entre informaticiens et organisateur (spécialistes en efficency world). Pendant toute ma carrière j'ai enseigné l'art de faire plus avec moins. Adrian MC Donough, mon respecté collègue à Wharton a écrit tout un livre - mis sous le boisseau, faut-il s'en étonner ? sur ce sujet.)
La clé :
CE QUI N'EXISTE PAS, NE MANGE PAS DE PAIN !
Or la tendance est de faire moins avec plus. Par exemple, par rapport à l'ancienne norme, on fait deux fois plus d'étapes, voire trois, pour un résultat plus grossier (nombre limité de couleurs, réduction des nuances et des polices de caractère etc). Un prochain billet explorera les raisons de cette baisse drastique de productivité qui fait exploser inutilement la complexité et ruine les gogos tout en enrichissant la maffia des fabricants de logiciel, des revendeurs, et des cabinets de consulting les plus puissants.
cf. La formation à l'envers