Dans le billet qui suit j'essaie de fusionner, ces vagues de subjectivité qui créent un authentique rapport à l'autres, et des informations factuelles, ou du moins, porteuses d'enseignement. Le pivot qui permet le passage est la métaphore. Mais il faut savoir la déchiffrer.
Le billet que je reproduit ici, provient d'un texte parmi ceux issus de ma solitude à Recloses et que j'ai évoqué dans le billet précedent. A première vue il s'agit d'un poème en prose, mais décodé il revêt un sens tout nouveau, : une boucle en train de se clôturer au bout des qualques décennies. Il fait partie d'un recueil qui s'appelle : Hors de sentiers battus, qui a précédé largement l'Entretien. Le texte original est accompagné par des aquarelles de lavis rose et violet. Terminé le 5 octobre 1963 à minuit, il constitue le quarantième recueil de la série.
Il évoque la veillée de Noël solitaire, à l'auberge de la Glandée. Il y en aeu beaucoup de plus. Vous constaterez la similitude avec l'esprit du blog.