Interdit au grand public
Des esprits malintentionnés ont cru comprendre que le cadeau de l'Elysée à un Proutine auquel tous font la cour, consistait purement et simplement en deux bouteilles de vin. Que lorsque le Président Français inquiet s'est enquis du sort résevé à ce cadeaux très chers (les meilleures bouteilles provenant de la cave de l'Elysée), le Russe aurait répondu en riant que Geergiev ne lui aurait rien remis, et qu'il avait du les boire ! Branle-bas de combat, les bouteilles restent introuvables. De bons esprits m'ont critiqué pour avoir proposé Geergiev, un loufoque comme tous les artistes, pour apporter le somptueux cadeau de la France à celui qui s'affirme come le maître du monde. Il eût pour un tel don, été plus prudent de passer par la valise diplomatique. A chacun son métier et les vaches seront gardées. Tout simplement Proutine ne se trouvait pas à sa fête d'anniversaire, mais au lit avec une aspirine et un grog. Ne sachant à qui remettre le précieux et encombrant cadeau que le pauvre Geergiev trimballait depuis Venise, il le remit au chef de l'administration du Kremlin, Kojin, un proche de Proutine. Ce dernier, considérant peut-être le don pour négligeable, l'avait laisser traîner quelque part, et Proutine ne le reçut que trois jours après le départ de Nicolaeus Narkozy. Au demeurant les deux hommes se sont fort bien entendus sauf sur un point : l'Iran. L'Iran, ça rapporte plus que l'Europe, alors donnez-moi dix milliards d'euros, et on discutera, maquignonne le Président Russe. L'écologie, le sort de l'Europe, les bons sentiments et les grandes perspectives, ça ne se mange pas en salade ! Décidément ces Russes sont intenables, ils agissent comme des hommes d'affaires américains et non comme des généreux écolos soucieux de l'avenir de Gaïa.