Sunday, 16 September 2007
Pour en finir avec le politiquement correct (suite)
En parcourant Le Point
L'islam est victime de sa culture esclavagiste
L'esclavage en terre d'islam. Malek Chebel. Fayard. "Celui qui se convertit à l'islam ne peut être retenu en esclavage". Loi édictée par le calife Omar mort en 644, stipule que le musulman ne peut être asservi par son coreligionnaire, ni être asservi par lui.
Nombre de slaves de confession orthodoxe ont été réduits en esclavage, notamment sous le califat turc.
Il est vrai que les musulmans ont organisé la traite des noirs pendant près de dix siècles en toute bonne conscience.
Depuis trop longtemps les musulmans sont imprégnés d'une culture de l'asservissement. Ils doivent s'en affranchir. (La Mauritanie en est à sa troisième loi d'affranchissement promulguée en 2007)
Tabou sur la guerre des blacks
Depuis plus de dix ans les Renseignements généraux tirent en vain la sonnette d'alarme sur les bandes ethniques qui 'affrontent jusque dans la capitale. Les pouvoirs publics font semblant de découvrir le phénomène.
Lucienne Bui Trong : la maladie du politiquement correct a rendu le phénomène ethnique tabou. A tous les échelons ont jouait de la gomme, il fallait éviter tous le mots à coloration technique, pour ne pas donner une image raciste de la police.
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Saturday, 15 September 2007
En finir avec le politiquement correct, point à la Ligne
En parcourant Le Point du 13 septembre 2007
Egalité et injustice (F.O.G.)
"où comme dit l'autre, tous sont égaux, mais certains sont plus égaux que les autres" . L'autre, c'est Georges Orwell dans Animal Farms". Cette formule convient parfaitement à toutes les idéologies prétendument égalitaires que j'ai réunies sous le nom de "Diamant vertueux" et qui comprennent les régimes communistes et révolutionnaires, de l'ex-Union Soviétique à la Corée du Nord. La France n'est pas en reste avec les régimes spéciaux de retraite défendus par les syndicats d'aujourd'hui et les socialo-communistes de naguère. Au nom de quoi des agents roulants de la SNCF ont-ils droit à une retraite à cinquante ans refusée aux métiers du bâtiment? Il ne suffit pas de rectifier le tir comme le propose un Manuel Valls et à sa suite le PS. Il faut se demander quel ressort idéologique a freiné une reconnaissance aussi tardive et dénoncer les esprits faux et malhonnêtes qui ont engagé notre pays dans cette voie d'exception. On en est loin, et on préfère avec le Point, féliciter onctueusement les nouveaux repentis pour "leur incontestable sens de l'Etat".
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Thursday, 13 September 2007
La nouvelle lutte des classes :
nouveaux riches étrangers vs. nouveaux pauvres français
Je viens de voir une émission de télévision –une fois n’est pas coutume- sur le haut artisanat d’exception, qui devrait faire plaisir à François Hollande, et à tous les très nombreux français qui n’aiment pas les riches mais adorent les très très riches. Les riches clients qui font vivre les Hermès, Boucheron et autres Lagerfeld, sont en effet tous étrangers, et généralement non européens. Certes, on peut faire mieux car les fournisseurs de ces nababs et leur personnel, doivent dépasser le seuil de richesse permise, ces officines devraient être gérées par des officines étatiques composées d’honnêtes smigards. Mais ce n’est ni l’avis de J.P.Sartre, ni celui de l’ISD, le think tank politiquement incorrect du blog.
Sartre le communiste, n’est pas à une contradiction près. Il démontre avec talent que la haute culture ne prospère que dans la prospérité. Sans l’existence de riches, il n’est pas d’artistes géniaux, de poètes, de grands peintres ; l’art est un produit dérivé des inégalités sociales et de la haute bourgeoisie. Ce n’est pas d’un état égalitaire et socialiste que vont surgir les Rembrandt ni les Damien Hirst. Certes Basquiat a beau jeu de fustiger la société new yorkaise, mais sans le patronage de Warhol, pur produit de la ploutocratie, eût-il atteint la notoriété ? Peut-être, mais plus difficilement.
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Wednesday, 12 September 2007
Les fondamentaux de Bill Viola
Une analyse de Marina Fédier
Nous connaissons de Bill Viola, ce que nous livrent sa biographie, ses entretiens, et le DVD dans lequel il nous livre de riches aspects de da personnalité.
Mais derrière l'information "officielle" ainsi rassemblée, se révèle une autre information, livrée par des sources parallèles comme la graphologie, la non-verbal communication, le symbolisme qui donne sens initiatique et spirituel à son oeuvre. Un des appareils symboliques les plus significatifs que nous ait légué le passé, est le thème astrologique. C'est un outil puissant de description des tendances profondes de la personnalité, un révélateur de cet être essentiel, car le thème est établi au moment de la naissance, et dégagé, comme le génome, de toute contingences extérieures.
Une mise en garde
Ce dont il est question ici n'a aucun rapport avec l'astrologie pratiquée par les diseurs de bonne aventure et par tous ceux qui prétendent découvrir le futur dans l’horoscope. Il s'agit ici de la condensation sous forme hautement symbolique de constellations formelles présentes au moment de la naissance et attribuées à la position des astres, Elles sont mises en correspondance avec les constituants de la personnalité décrites notamment par Carl Gustav Jung et Dürkheim. Dans un billet aussi limité que celui-ci, nous ne pouvons qu'esquisser quelques indications majeures sur le caractère d’un des plus grands artistes de notre époque.
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Tuesday, 11 September 2007
Chronique
Je viens de recevoir un email du professeur Omar Aktouf, un des meilleurs auteurs en matière de Théorie des organisations, qui me propose une collaboration à un groupe de réflexion. Professeur titulaire à HEC de Montreal, il réalise une synthèse entre l'efficacité anglosaxonne, sans humanisme, et l'humanisme européen sans efficacité. Ses ouvrages sont des leçons de sagesse pour les entrepreneurs européens, trop séduits par les mirages de l'utopie tiers-mondiste et par le faux pragmatisme globalisant. Prenant ses distances par rapport de Matrix et de Medusa, Aktouf propose une troisième voie. A suivre.
Art contemporain
Je recommande la lecture des commentaires, notamment ceux d'Alexandre Del Valle, un maître en géopolitique, et de Poil à gratter dont les interventions roboratives, invitent à la réflexion en profondeur. Je remercie aussi Frédéric Bonnet pour son billet passionnant sur la retrospective Annette Messager. Cette artiste fait partie des 25 que le groupe New Wave a sélectionné. Il faut absolument la visiter, (pour ceux qui habitent la région parisienne) si on veut commencer à entrer dans la grande aventure de l'Art Contemporain. Actuellement je me trouve à Deauville dans un cyberhôtel, et entretenir un blog dans ces conditions n'est pas particulièrement commode. Je compte me rendre dimanche à la retrospective Messager et je vous livrerai mes impressions de néophyte. L'Art contemporain ne passionne pas le grand public, et c'est dommage. Mais vous, ne vous découragez pas, ce n'est pas facile, il est vrai, je suis comme vous un débutant dans la grande saga du XXIe siècle, mais il faut s'accrocher. Si je m'y attelle à soixante quinze ans, pourquoi pas vous? IL faut des initiateurs, c'est pourquoi Fréderic Bonnet est là, et aussi une bibliographie qu'on vous communiquera au fur et à mesure.
Des muscles et des hommes
Je suis un peu horrifié par l'abondance de chair et de muscles qu'on nous montre à propos du foot-ball. N'y a-t-il pas un peu de place pour d'autres exemples d'excellence dans nos écrans? Si vous aimez la force et la compétition, voici un bon exemple tiré de mon billet sur la Turquie.
Contrôler l'incontrôlable
Quotidiennement des anciens élèves, des collègues, et des élèves devenus des collègues, viennent me trouver pour me soumettre des problèmes vaseux, paradoxaux ou en apparence insolubles, de ceux où on tourne en rond de manière vicieuse comme dans un labyrinthe dont on ne peut s’échapper, ou encore des sables mouvants dans lesquels on s’enlise doucement sans puiser en nous l’énergie nécessaire pour s’en arracher. Je ne puis bien entendu répondre à leur requête : comment s’en sortir, mais au moins une maïeutique appropriée permet-elle de cerner le monstre, de le contraindre à prendre forme et nous mettre sur la voie de sortie.
Certains de ces problèmes sont spécifiques. D’autres au contraire sont communs à un grand nombre de décideurs, notamment au sommet, ou encore indépendants et maîtres de leur temps et de leur travail, ce qui est moins enviable qu’il n’y paraît. Un exemple de problème récurrent qui empoisonne mes clients, est celui de l’agenda. Comment s’en rendre maître ? La solution existe, mais la difficulté réside dans l’application. Il en est un peu de même pour le cas Emmanuel. Comme ce cas peut affecter la vie de bien des internautes qui suivent ce blog, et qu’il fait partie de mon enseignement, j’ai décidé d’en faire le thème de cette masterclass.
La population concernée par le cas
Ce sont les créatifs polyvalents, qui se plaignent de ne pas être assez structurés, de perdre du temps, et de consacrer trop d’heures précieuses à s’intéresser à ce qui leur plait au détriment de tâches essentielles.
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