Nouveautés du blog
Compléments à Virus, plaidoyer pour la culture
Dès à présent je vous invite à lire trois nouveaux articles : les trois premiers, concernent la genèse de Virus : une introduction, un avant propos et une postface, qui ont été supprimés pour des raisons de place ou de diplomatie dans l'ouvrage grand public. Un avantage de ce blog, est qu'il peut éclairer et compléter ce qui a été tu pour des raisons pratiques.
Le dernier article "postface" ,signé Kevin Bronstein, est le plus importanr car il discute du rôle de la culture, la nécessité de revenir aux valeurs socratiques de hiérarchisation, et discute les positions de Kalfon, sur la télévision, de Maffesoli et de Wolton sur "la part du diable".
Vécu le 6 avril : Wifi pour tous, une utopie?
Je prends comme bien de mes concitoyens de vacances de Paques. Me voici au Château de Divonne, un des derniers endroits où on retrouve une convivialité et un accueil réellement personnalisé. J'ai emporté avec moi mon ordinateur, pour la première fois lors d'un déplacement, les vacances sont les vacances! Mais voici, je ne voulais pas lâcher les fidèles visiteurs de mon petit blog. Je me suis attaché à eux et tout particulièrement à ceux qui me tiennent compagnie pendant la nuit. (Il est 3h52) et ils sont déjà plus de 80 à lire derrière mes épaules. J'ai donc acheté des cartes Wi FI à l'hôtel. La première de ces cartes coütait 12 euros et procurait 2 heures de communication avec mon blog. Hélas, après à peine une demi-heure d'utilisation, et en pleine nuit, mon crédit s'avère insuffisant. Et impossible de payer en ligne, car je ne sais pourquoi ma carte visa est refusée. On m'a expliqué, qu'il fallait déconnecter à chaque transfert entre l'ordinateur et l'internet, le wi-fi, et qu'il valait mieux prendre une carte à crédit illimitée. J'ai pu m'en procurer une pour trois jours; tarif 75 euros! Il paraît que d'autres cartes sont beaucoup moins chères, mais je suis tributaire de météor, le système Wi Fi proposé par l'hôtel à ses clients. Vive l'information gratuite pour tous et la dialogue entre les habitants de la planète démocratisée! J'attends des suggestions pour payer moins. Merci.
Lu et vu le 6 avril, les titres
Thalassa. Une émission sur les Emirats.
Une illustration de la culture Matrix combinée à la pratique de Djihad. Les extrêmes au pouvoir. Si l'architecture et l'urbanisme reflètent une culture, les fabuleuses réalisations de rois du pétrole répondent à leurs motivations avouées : l'argent-roi dans toute sa majesté; l'humanisme exclu, toute considération étrangère à la richesse et à l'hédonisme, éradiquée. (Lire les détails dans la suite de l'article ►)
Une illustration exemplaire de l'opposition irreductible entre la Justice et la Police : l'affaire du violeur récidiviste.
Le cas de Majdi Medjaoui, laissé libre de récidiver et ayant fait une nouvelle victime, pose des questions intéressantes. Qu'est-ce qui a conduit les juges des libertés à refuser l'évidence des tests ADN sous des arguties juridiques ? Quelles seront leurs sanctions? Qui est réellement coupable du martyre d'une jeune femme, machoire et nez brisé, violée et défigurée? Quels sont les mobiles réels des juges? Seule le grille Medusa - Force de la Terre, permet de donner un semblant d'explication à l'attitude de cexu qu'il faut bien considérer comme les défenseurs objectifs des criminels. (Lire les détails dans la suite de l'article ►)
Les trois tabous de la campagne électorale
Tous les candidats feignent d'ignorer que ce qui fait fuir les investisseurs et les PME, n'est pas le droit social, le plus contraignant de France, mais le non droit-social , c'est à dire l'infraction préméditée et affichée des prud'hommes de s'affranchir de la loi au détriment des emplyeurs. La tolérance dont bénéficient les fraudeurs qui utilisent admirablement le système français favorisant systématiquement l'employé, pour se livrer à de véritable abus de droit. Ceci pour le premier tabou.
Le second tabou est étroitement associé au premier. C'est la cécité volontaire sur les dérives idéologiques de la plupart des juges en faveur des délinquants contre leurs victimes, mises sur le compte d'une surcharge de travail.
Le troisième tabou, concerne le racisme à l'envers, qui consiste à minimiser, voire à taire, des infractions et des délits, dès lors qu'ils sont commis par des étrangers, tout particulièrement originaires d'Afrique. Toute dénonciation de cette discrimination positive des esprits est impossible, car diabolisée. Le tabou est d'autant plus frappant qu'il concerne la presse dans son ensemble et non la population qui en subit les effets. Notamment le refus de lier les viols et les déprédations à une volonté d'humilier le pays d'accueil.
Une page dans France-Soir consacrée aujourd'hui à Virus.
Virus s'attaque aux positions idéologiques quelles qu'elles soient. Il les rend responsables de la désinformation généralisée qui est décrite comme un "trou noir" auquel nul ne peut échapper. Il décrit les ravages de Matrix : . le consumérisme, la mondialisation malheureuse, le culte exclusif du profit, le gigantisme, la deshumanisation et l'aliénation des populations. De ce point de vue on peut le considérer comme proche de la gauche. Même chose, lorsqu'il déplore l'étroitesse d'esprit de la bourgeoisie traditionnelle, son dédain pour l'avant-garde et pour la culture qui se fait, sa centration sur l'utile et l'agréable, son manque de vision. Plus encore, il rend responsable "Force de la terre régressif", le noeud sémantique qui a ,polarisé la bourgeoisie du XIXe siècle, de la haine des intellectuels pour les classes possédantes. En dépit de ces attaques, les intellectuels autoproclamés de la gauche estiment tendancieux (à droite) mes tentatives pour dénoncer la désinformation. Il y a une explication très simple à ce phénomène. La gauche n'admet pas qu'à son tout on puisse dénoncer la désinformation dont elle est responsable et condamne au silence toute tentative de se soustraire à son emprise. D'où le fait troublant que ce sont deux journaux de droite (les seuls avec Valeurs Actuelles) qui ont osé deux pages pour parler d'un livre qui est politiquement incorrect.
Les otages anglais libérés.
Les occidentaux agissent en Dhimmis. Hegel affirmait qu'entre deux adversaires, celui qui l'emportait était celui qui risquait sa vie pour sa cause? L'Occident par perdant (le syndrôme mieux vaut rouge que mort, des intellectuels allemands par opposition à la conviction islamiste : mieux vaut mort que rouge). Les anglais se laissent capturer dans la moindre velléité de résistance, avouent tous ce qu'on veut et remercient leurs ravisseurs. Un marin déclare au pire des adversaires de son pays; "Je suis content de vous rencontrer, nous sommes très reconnaissants pour cette grâce" et Faye Truney, du groupe britannique déclare en substance : l'Iran est un beau pays, je vais esssayer de revenir. Blair s'excuse et renonce à stigmatiser les fanatiques. Le syndrome de Stockholm antérograde qui a provoqué le surgissement des camps nazis et des goulags, sous l'oeil atone des démocraties (mieux vaut deshonorés qu'en guerre), ne cesse de faire des ravages. Le Figaro lui même en rajoute en titrant : L'armée britannique "humiliée" par l'Iran. A la une Daily Mail on lit "humiliés". C'est la meilleure preuve de l'avilissement de l'Occident, telle que les islamistes, la stigmatisent.
Articles sélectionnés
Thalassa, une émission sur les Emirats
Elle porte à la connaissance du grand public le contraste entre la richesse étalée des nouveaux riches arabes, et l'exploitation éhontée qu'ils infligent aux malheureux qui les servent.
Tout est fait pour la poudre aux yeux. La démesure mégalomaniaque conduit les richissimes bénéficiaires de la manne pétrolière à investir dans des sanctuaires pour parvenus auprès desquels Mahagonny de Bertold Brecht est une merveille de bon goût. Dans une certaine mesure on ne peut qu'admirer l'opulence, l'audace architecturale, l'esprit d'entreprise, la vision de l'après pétrole qui ont inspiré ces luxueuses demeures, ces tours géantes, ces hôtels de rêve. Les mots manquent pour décrire notre émerveillement devant tant de somptuosité étalée. Les plus luxueux "resorts" des Etats Unis semblent misérables à côté de ces lotissements de luxe gagnés sur la mer, pour ne pas parler des hôtels européens qui paraissent franchement miteux. Alors?
Alors, un ingrédient manque à ce rêve et le transforme en cauchemar pour tout homme tant soit peu raffiné : la culture fille d'équilibre, d'harmonie et de mesure. Autant les moyens investis sont gigantesques, les matériaux nobles, les formes souvent audacieuses, autant le concept est enfantin, débile, dépourvu de toute intelligence. Deux exemples illustrent mon propos. Un des lotissements géants de Dubaï bâtis sur la mer se nomme la palmeraie. En effet, vu d'avion, il représente un tronc, autoroute qui lie à la terre le "resort" et des palmes harmonieusement disposées qui comprennent des villas et des hôtels rappelant Disneyland, ou encore dans "The World", des groupes de maisons et de tours, simulant les contours de tous les pays du monde. Israël et la Palestine exclus car on ne peut tout mettre!. On reste bouche bée devant autant de luxe ostentatoire. Et il faut bien reconnaître que ces paradis artificiels sont bien agréables : on se dore au soleil éternel, la mer est limpide et sera bientôt peuplée de poissons multicolores, les boutiques de luxe, (que l'on trouve aussi bien à Moscou qu'à New York ou à Paris), les salons de massage, les restaurants gastronomiques, tous les sports d'entretien di corps et de l'esprit, et bien entendu les plus agréables hôtesses sont réunies dans ce lieu, d'où est bannie le moindre désagrément. On mange, on boit, on nage, on se dore, on fait l'amour, on danse, puis, on danse, on fait l'amour, on se dore au soleil ardent, on fait de la pêche sous-marine, on boit du champagne et on déguste caviar, foie gras, et huitres fines, on fait les boutiques...Et c'est tout! Le paradis sur terre.
Les acheteurs ne se contentent pas d'habiter quelques semaines par ans ces sanctuaires, ils font de l'argent. Ils en acquièrent par paquets de cinquante maisons à la fois. Ce sont des russes, des spéculateurs américains, des affairistes du monde entier, voire même des européens qui boudent les stations européennes, à la mer polluée, le service de plus en plus restreint par les lois sociales, la cohue partout, la pollution et un mauvais rapport qualité-prix.
Certes, le voisinage des merveilleux monuments, de la tradition raffinée de nos châteaux hôtels, les festivals, les paysages sublimes riches d'histoire; le style somptueux des palais, cette variété confondante des cités et des paysages, ne sont absolument pas copiables. C'est la culture en plus, et nombreux sont ceux qui l'apprécient et qui font de la France, l'Espagne et l'Italie, les premiers pays touristiques de la planète. Mais pour combien de temps encore?
Pour paraphraser Skuton, il y a "The West and the Rest". Il y a la haute culture et le reste. Et le reste est comme les boutiques chinoises de San Francisco. Une rue flanquée de centaines de boutiques prometteuses. On espère en flanant de dénicher la peinture rare, le jade inhabituel, le brocard précieux... mais toutes les boutiques ne sont que le clone d'un modèle unique. On se demande, ce qui incite le chaland à pénetrer dans l'un plutôt que dans l'autre. Autre fois en Europe comme en Asie, chaque site avait son marché, ses boutiques, ses spécialités artistiques, ses parfums, ses tailleurs, ses librairies, ses galeries d'artisanat...
Aujourd"hui "le reste" s'infiltre partout. Les rues des capitales et des "resorts" comme "la Palmeraie" sont les répliques l'une des autres. Hermès, Vuitton, Dior, Cartier, se répliquent comme des champignons dans le monde entier. Les spécificités sont gommées ou exhibées dans des boutiques touristiques comme des singes et des autriches dans un zoo.
Et, coexistant avec cette opulence insultante, voici les ouvriers qui édifient pour les riches princes arabes les cités de marbre et d'or. Dire qu'ils sont traités comme des animaux, est en dessous de la vérité. Les vaches sont mieux loties. On pourrait les comparer aux poulets en batterie, l'hygiène en moins, la fatigue en plus. Les bouges infects où on les tasse, sont facturés à un prix exorbitant par les âpres émirs, et princes arabes, leurs courtisans, leurs hommes d'affaires. Les spectateurs de Thalassa ont pu découvrir avec ahurissement l'ignoble destin de ces malheureux, venus du Pakistan, de l'Inde, sous le regard indifférent des intellectuels si prompts à dénoncer le inégalités. Car si à la rigueur on peut s'habituer au spectacle d'Indiens et de libériens en train de crever de faim, on ne peut tolérer un tel traitement de la part de riches islamistes, qui jettent litteralement l'argent par les fenêtres, et exhibent sans complexe leur fortune immense devant les esclaves qui l'édifient.
Que vient faire ce commentaire dans un blog sur la désinformation? Il dénonce le silence assourdissant de nos intellectuels autoproclamés, prompts à stigmatiser la France appauvrie et endettée à mort pour son refus de recevoir toute la misère du monde, alors que celle-ci pourrait être allégée par toute la fortune du monde, fût-elle arabe? Mais de gauche comme de droite, le pétrole inspire le respect et il n'est pas question de déplaire ses détenteurs du moyen-orient.
L'affaire du violeur récidiviste
Les informations factuelles
1. Madji Bejaoui, 21 ans, agresse le 21 mai 2006 une mineure de 16 ans après l'avoir coincée dans un hall d'immeuble, puis entrainée dans les étages, violentée et violée.
2. D'après un témoignage d'un fonctionnaire, il y aurait eu une volonté d'avilissement, le téléphone portable ayant été utilisé pour prendre des clichés.
3. Les des témoins de la scène ont été contredit par Béjaoui qui n'a pas avoué.
4. Le juge des libertés a désavoué le juge d'instruction qui avait demandé un mandat d'arrêt, et a préféré suivre la version de Bejaoui, plutôt que celle de la victime et des témoins de la scène. Il a remis en liberté le suspect.
5. Quatre mois plus tard, preuve est faite que Bejaoui a menti puisqu'il a nié toute relation sexuelle, et que les témoins ont dit la vérité. On retrouvé l'ADN de ce dernier sur le lieu du crime. Le juge des libertés s'est trompé.
6. La juge d'instruction arrête le délinquant présumé et le menteur confirmé.
7. Le juge des libertés désavoue une fois de plus la juge, les témoins et la victime, et refuse d'écrouer le violeur présumé. Motif : "l'ADN ne constitue pas un élément nouveau susceptible d'entraîner une incarcération".
8. Le Parquet de Paris n'a pas requis de mandat de dépôt : raison : pas de commentaires.
9. Dans la nuit de mercredi 4 avril à jeudi 5 avril, il accoste une jeune femme, la suit dans le hall de son immeuble, l'aggripe par les cheveux, la roue de coups à l'aide d'une arme de poing, et l'entraîne au deuxième étage de l'immeuble. Il lui brise le nez et la mâchoire, la défigure et la viole.
Les inférences du premier viol
Le juge des libertés a délibérément retenu le témoignage du suspect et rejeté celui de la victime et des témoins. Deux inférences sont possibles : 1. il estimait que le doute doit profiter au suspect en l'absence de preuves formelles, le témoignage de la victime ne pouvant constituer une preuve, car elle pouvait avoir menti, les témoins également pouvaient avoir fait de faux témoignages par haine raciste envers un "jeune". 2. Le juge des libertés a sciemment appliqué une "discrimination positive" en préférant le témoignage du présumé agresseur, à celui de la victime et des témoins. Le fait que l'accusé ait 21 ans au moment des faits et qu'il soit d'origine maghrébine a pu poser sur la décision.
La falsifiabilité
Il faudrait savoir si la victime et les témoins sont des "français de souche" ou de non arabes, ce qui d'une part expliquerait la volonté d'avilissement du maghrébin (le viol accompagné de violence n'est pas un acte sexuel mais de domination), d'autre part la réticence du juge à accepter cete inférence. Le juge en effet, constatant que la victime est française de souche ou appartenant à la classe aisée, a craint d'être traité de raciste et d'islamophobe anit-jeune. Il est possible aussi que la constatation d'un acte anti-blanc (albinophobe) entre en dissonance cognitive avec sa conviction que de tels actes sont de la désinformation raciste.
Si la victime et les témoins sont des français de souche, des juifs ou des blancs, cette inférence est acceptable. Sinon il faut admettre que la discrimination positive en faveur de l'agresseur est soit due à une intime conviction, soit à une préférence accordée aux agresseurs par rapport aux victimes, soit enfin à considérer que les policiers sont des oppresseurs européens et que le non europeen est un opprimé (syndrome sartrien).
L'hypothèse d'un biais (discrimination positive) est facile à vérifier ou à falsifier. Nous essayerons de nous y employer.
Les inférences de la présence de l'ADN du suspect
1. Il est prouvé que le suspect a menti. Son témoignage est donc suspect. Puisqu'il a nié toute intromission sexuelle.
2. Il est prouvé que la victime n'a pas menti, puisque la présence de l'ADN a été trouvée sur les lieux.
3. On doit donc exclure l'hypothèse d'une relation sexuelle consentante. Il y a bien eu viol.
4. Le juge des libertés aurait donc dû se ranger à la décision du juge d'instruction. Il ne l'a pas fait. Plusieurs raisons sont possibles :
- Il a eu honte de se désavouer
- Il a bien été contaminé par Medusa (la contre-culture donnant la préférence au bourreau sur la victime, surtout lorsque le bourreau est d'origine africaine). Cette contamination affecte le cerveau droit qui est dissocié du cerveau gauche, celui de la raison.
- Il a agi sciemment en protégeant l'agresseur tout en sachant qu'il est coupable, pour des raisons idéologiques. Il a été alors un agent actif de Medusa.
5. Le parquet de Paris a adopté une attitude analogue. Le fait d'avoir refusé de décliner ses raisons, laisse soupçonner une contamination par Medusa, les policiers selon ce noeud sémantique étant assimilés à des agents de l'oppression impérialiste.
Les inférences du deuxième viol
1. La recherche des responsables. Il est évident que le juge des libertés par sa décision d'accorder une discrimination positive à l'agresseur a été le premier responsable du traitement barbare et traumatisant qu'a subi la deuxième victime.
2. Il serait intéressant de mesurer l'impact de l'affaire dans les différents média, ce à quoi nous allons nous employer. Si les organes de Medusa (Libération, le Monde, Marianne, le Nouvel Obs, l''Evènement du Jeudi, le Canard Enchaîné) miniment le fait, ou le déforment, il s'agirai bien d'un tropisme contre-culturel Medusa. Les journaux faiblment influencés par Medusa, voire Force de la Terre, (le Figaro, France-soir, Veleurs actuelles, le Point et l'Express) devraient au contraire en parler, sans en tirer les conséquences.
3. Il serait encore plus intéressant de voir l'impact de cette "bavure" judiciaire, par rapport à l'impact considérable des "bavures" policières.
4. Il serait intéressant de connaître la position du juge des libertés.
Nous demandons aux internautes de m'adresser toutes les informations qu'ils pourront glaner.